Gabin et Agathe se sont rencontrés à dix-sept ans au mariage de leurs frères et sœurs respectifs. Qui aurait pensé que les deux familles auraient trouvé en cette soirée de nombreux points communs ? Soudain, Gabin et Agathe se croisent bien plus souvent qu'à des mariages. Du repas du dimanche à Noël, les voilà obligés de se fréquenter à chaque fois que leurs parents veulent « se faire une bonne bouffe ». En l'espace d'un an jour pour jour, Agathe et Gabin auront la chance de partager vingt-quatre fêtes, du repas d'anniversaire aux dates les plus oubliées du calendrier. Et en vingt-quatre fêtes, ils s'aimeront, se détesteront, et tenteront d'assembler pièce par pièce ce qui ressemble peut-être à une jolie histoire. Gabin et Agathe se sont rencontrés à dix-sept ans au mariage de leurs frères et sœurs respectifs et depuis, ne se sont plus jamais quittés.

Des poèmes qui, comme les feuilles d'automne, Ont été dispersés dans l'air par les vents de l'esprit... Du scarabée fatigué Au farfadet égaré En passant par le port des sirènes, Vous allez plonger dans le monde mystérieux des débris que charrie Éole, Dans ses heures les plus folles. Gagnant des Watty Awards de 2019, Catégorie "POÉSIE"

À l'époque de Victor Hugo, on l'appelait le mal du siècle. Baudelaire lui, l'appelait le spleen. Les musiciens quant à eux, l'appellaient le blues. D'autres encore l'appelaient le cafard, le chagrin, ou encore la mélancolie. Elizabeth quant à elle donnait à cet état d'âme une poignée de prénoms anglais. Car c'était à cela que se résumait sa vie ; des prénoms, rattachés à des phénomènes que nul n'aurait su lui expliquer. La mort, l'amitié et l'amour. La mort d'un être qu'elle aimait plus que tout, l'amitié d'êtres qu'elle n'aurait imaginé apprécier et l'amour d'un être qu'il lui était interdit d'aimer. Il était son grand frère, et il était tout pour elle. Mais alors que l'été allait débuter, elle le perdit. Dès lors, il ne s'appellait plus. Il était la mort ; à la vie à la mort. Et puis, il y avait lui. Lui, qui se tenait devant le tableau alors qu'elle, s'asseyait derrière le bureau. Lui, qui enseignait alors qu'elle, en saignait. Il était l'amour ; ah, la vie, ah, l'amour...

Londres, 1945. Dans cette ville dressée sur d'immenses tours métalliques, hantées par les silhouettes de gigantesques dirigeables, résonnent les échos d'une terrible guerre opposant les Darwinistes et leurs créatures génétiquement modifiées au reste du monde. John Watson, médecin militaire au passé trouble, erre à la recherche d'un métier et d'un endroit où habiter. Un peu par hasard, il atterrit au 221b Baker Street, où un certain Sherlock Holmes l'embauche comme homme de main. Watson a à peine le temps de s'installer que d'ignobles meurtres bouleversent la noblesse. À la poursuite de l'assassin, le détective misanthrope et le soldat traumatisé devront bien apprendre à se faire confiance... Du moins, s'ils veulent en ressortir vivants. ~ Inspiré directement des personnages de Conan Doyle (pas de la série Sherlock ou des films avec R.Downey Junior), mais avoir lu les livres n'est pas nécessaire pour comprendre :) La relation Holmes/Watson reste platonique ici, même si elle peut être lue comme un début de romance Tout public Histoire terminée Plus de précisions dans le premier chapitre ;) Couverture par moi :)

Finalement, elle aurait vraiment dû partir en taule... // Détourner de l'argent, c'est amusant ; jusqu'au jour où l'on voit ses associés brutalement traînés hors de leurs bureaux par les fédéraux. Victoire l'a bien compris, elle est la suivante sur la liste, mais elle préfère mourir plutôt que d'enfiler cette tunique orange, son orgueil n'y survivrait pas. Alors, elle entasse les dernières liasses de billets qu'il lui reste et se rue à l'aéroport, bien décidée à reconstruire sa vie loin des radars de la justice. Oui, mais où ? Un vol imminent pour l'Alaska est annoncé.

C'est l'histoire de Blanche Rodin et de Cormac Papillon. Celle de Cornelia, Arsène, Conan, Balthazar, Barnabé et Jean. Surtout, c'est le récit d'un été pluvieux, rempli de hasards heureux, de soupe de poisson surprise, du premier amour, de homards morts-vivants, de lectures nocturnes, de restaurants sans clim, de chapeaux envolés, d'amitiés invraisemblables, de l'envie de grandir, celle d'être jeune pour toujours et surtout c'est l'histoire de la valse des coussins.

L'océan, Luka en a toujours rêvé. Vivre libre et loin de la misère dans laquelle elle a grandi l'obsède. Peu importe qu'elle soit une femme, sa détermination est sans limites et elle compte bien prendre la mer. Quand le capitaine de l'Endeavour l'intègre à son équipage en dépit des convenances, Luka semble toucher son rêve du doigt. Mais passée l'euphorie du départ, la vie à bord se révèle impitoyable. Sous les ordres de l'intransigeant et mystérieux maître coq, Axel, Luka cherche à trouver sa place malgré le sexisme et la superstition légendaire des marins, alors que les véritables raisons de sa présence sur le navire lui échappent encore. Bien déterminée à percer le secret de leur expédition, la jeune mousse découvre rapidement que sur l'Endeavour, rien n'est ce qu'il paraît être.