Les soldats SS n'aiment pas les juifs et les juifs n'aiment pas les soldats SS. Il en a toujours été ainsi depuis le début du règne nazi. Lors de la Shoah, Madeline Gumpertz est une juive de nationalité française. Veuve et mère, elle sera d'abord déportée au Vélodrome d'Hiver avec sa petite fille de trois ans, puis au camp de Pithiviers. De son côté, Kurt Seeger fait partie de ce qu'Hitler appelle ''la race pure''. Il est contraint par son père de devenir soldat SS et contre sa volonté, il est affecté au camp d'Auschwitz pour y faire régner la terreur. Mais un destin tout autre le rattrape : celui d'aider, voire de sauver des juifs. 🌹 ⚠ Ce livre risque de traiter de sujets du style crime, mort et violence. Ces éléments peuvent ne pas convenir à un jeune lecteur ou à une âme sensible. ⚠ Les personnages Kurt Seeger, Madeline Gumpertz, Liliane Gumpertz, Ida, Whilhelm Frank, Adam Gumpertz, Helga Ackert, Alda Lorenz, Heinz Lorenz, Josef, Claus Von Seeger et Madame Bramm sont des personnages fictifs. D'autres personnages faisant également partie du roman ont réellement existé. MEILLEUR RANG DE CE ROMAN DANS LA CATÉGORIE ''ROMAN HISTORIQUE'' : #2 le 7 Avril 2017 ©MarieLamontagne

Louise n'a plus de mère. Alors qu'elle noie son chagrin sous la pluie diluvienne, une étrange force bleue consume son corps. Un éclair couleur saphir zèbre le ciel d'orage, et le monde s'estompe sous ses yeux. Louise se réveille sous le soleil de Vestali, l'Empire aux neuf joyaux. Traquée par l'Onyx, pourchassée par le prince héritier, son salut repose désormais dans la fuite. Pour atteindre le refuge des Insurgés, rares opposants de l'Empereur, Louise ne compte que deux alliés : des pouvoirs aussi puissants qu'incontrôlables, et Orion, cet Insurgé sarcastique et méprisant. Prisonnière d'un monde dont elle ne veut pas, écrasée entre le joug tyrannique d'un usurpateur et la tourmente révolutionnaire, Louise doit choisir son camp. Si la frêle fillette ne cède pas sa place à une femme aguerrie, le sang du saphir noiera l'Empire sous les décombres. L'heure a sonné, et, comme on le répète si souvent en Vestali : « Vivre longtemps et mourir libre ».