- toxico
passé deux heures sans cigarettes le temps se suspend et la vie s'arrête ☽ juillet deux mille vingt et un
passé deux heures sans cigarettes le temps se suspend et la vie s'arrête ☽ juillet deux mille vingt et un
on lui a dit pleins de fois de choisir femme ou homme l'un ou l'autre mais rien d'autre ☽ juillet deux mille vingt et un
jungkook écrit l'amour et l'envoie dans le ciel. merci à @minghaocean pour la cover ☆
À celui qui lira cette lettre, demain ou hier, ici ou ailleurs, entouré de fleurs, ou entouré de tombes, seul ou noyé par la foule... À celui qui jamais ne lira ces mots, à celui dont le visage me sera toujours inconnu, j'écris cette lettre. J'écris cette lettre à ceux dont le cœur est noyé dans la tempête. J'écris au...
━━━━━━━━━━━━━━━ tu disais que c'était ton heure. la meilleure heure pour s'endormir. alors j'ai pris l'habitude de le faire, de dormir à 4 h, je m'imaginais plus proche de toi. tu disais beaucoup de choses, petite créature colorée. mais jamais tu n'as dit les mots qui auraient pu m'apaiser. personne ne semble vouloir...
--> participation au concours fruité de @lisathelmar À 16:25, en sortant du tram, du lundi au vendredi, durant près de deux ans, je t'ai observé. Et j'ai finit par me sentir lâche.
« Après ces mois passés ensemble, où es tu aujourd'hui ? Te rappelles-tu de moi ? Pourquoi les souvenirs resurgissent maintenant, plus de cinq ans après ? Pourquoi ai-je si besoin de t'écrire ? » 10 chapitres (lettres) et une note de l'auteur | Récit court sous forme épistolaire |
et tu m'oublieras comme toutes tes toiles, une fois que les couverts ne seront plus que pour trois, une fois que le froid engourdira ta lame, une fois que le vert triomphera du bleu.
il était beau dans sa tristesse. (TW : suicide, mutilation, alcool, sang, dépression)
dans la nuit étoilée, même les astres entendent la plainte déchirante de notre amour qui s'effiloche.
« Et puis, surtout, c'est reposant la tragédie, parce qu'on sait qu'il n'y a plus d'espoir, le sale espoir ; qu'on est pris, qu'on est pris comme un rat, avec tout le ciel sur son dos, et qu'on a plus qu'à crier - pas à gémir, non, pas à se plaindre - a gueuler à pleine voix ce qu'on avait à dire, qu'on n'avait jamais...