On dit que le temps passe... non
Le temps
Courre ruisselle fuit se cache
Il nous arrache tout et nous laisse que souvenirs entre les mains
En guise d'odieuse récompense
Le ciel est azur
Il est inaccessible et peuplé de créatures qui le sont tout autant
Les rêves sont comme les nuages
Brumeux et flous ils s'évaporent
Ces mots sont coincés dans ces pages virtuelles
Les images sont devenues bruits
Elles sont décharnées de leur poésie
Elles sont arrachées à leur terre natale
Là-bas dans ce monde flou et trompeur
Dans ce monde de mirages et de stupeurs
De fantômes et de vies éphémères
S'exprime voluptueusement la lumière des Dunes