Le tonnerre nous avait surpris tous les deux. Puis je m'étais souvenu qu'elle avait ce torrent dans la poitrine et qu'elle ne se noierait jamais. ((quelle chanceuse, me direz-vous)) 2017. © llhzaak.

La solitude est un état, et un sentiment. L'état est un isolement parfois voulu. Le sentiment est une vague de douleur, le fait de se sentir seul nous déchire. Alors la mer, temple de la Solitude, est triste d'être seule, d'avoir été abandonnée par son amour. Devant ses yeux, certaines personnes se rencontrent, ou se donnent rendez-vous sans le savoir. Elle parle parfois à ces âmes torturées. Et lorsqu'ils s'en vont, triste est la mer.

Mes pensées négatives qui ont marqué mon adolescence. (les meilleurs textes se trouvent à la fin)

un homme et une femme, ils ne se connaissent pas, ils vont se connaître. il y a certaines rencontres dont le fracas est tellement beau qu'il reste sur la peau. il y aura tout d'abord la présence, et puis l'absence. tout se terminera devant la mer, avec les vagues, et une bouteille de vin.

Histia, royaume où humain et créatures fantastiques vivaient en harmonie, subit à nouveau la tyrannie de la reine Cloé. Revenue d'entre les morts, elle voue une haine sans merci aux créatures vivant sur ses terres et dans les autres royaumes. Elle les traque, les tue ou les réduis à l'esclavage. Et pourtant, elle cache un lourd secret: ses filles, les princesses Manon et Marion, deux petites jumelles, issues d'une ancienne union, portent la caractéristique de leur défunt père, ce sont des anges. Elle fera alors tout pour sauver sa réputation, quitte à mettre la santé des jumelles en danger. Qui sauvera les princesses ? Qui sauvera le royaume de la folie de Cloé ?

Ce n'était pas seulement le meurtre de mon frère. Ce n'était pas uniquement les prémonitions, les pouvoirs surnaturels, le fantôme que j'avais pour ami. Ce ne se résumait pas aux meurtriers, police et démence à mes trousses. Ni à mon enlèvement ou à ma torture. Mes faux souvenirs ou le monde parallèle. Les cauchemars, la traque ou les mensonges. C'était une quête d'identité et de vengeance, qui ne faisait que commencer, vague et incertaine, aveuglée par d'hallucinantes révélations. L'histoire de Vereessa, Fille des Etoiles, Koeri, dont le destin était de mener le peuple vers la lumière, commençait dans l'ombre.

On était de ces enfants terribles qui écrivent sur les murs de la ville, on mettait des mots sur des émotions éphémères, on éclairait la nuit de nos baisers. On courrait après le risque et le danger courrait dans nos veines. Demandeurs de l'inconnu, du hasard. Toujours là où il ne fallait pas, avec le goût du bonheur triste et des rêves éveillés, on remplissait le vide de nos vies avec notre imagination illimitée. En somme nous étions le cliché parfait de l'adolescent à problèmes, insolent et contestataire. On était de ces enfants qui n'ont pas peur du noir, et qui désirent des choses qui ne leur traverseraient jamais l'esprit lorsque le soleil est dans le ciel. Et dire qu'on avait hâte de grandir...