À MON ADOLESCENCE
Capsule temporelle de mon adolescence, quelques jours avant d'avoir dix-huit ans.
Capsule temporelle de mon adolescence, quelques jours avant d'avoir dix-huit ans.
-et je me dis que personne ne m'aura, au moins, lorsque je mourrais.
[...] ce sont des gouttelettes d'imaginaire percées de douleur, d'insouciance, et puis quelque chose qui se veut poétique, un peu
à chacun sa façon de fuir, voici la mienne. | un recueil | ***les images proviennent toutes de "we heart it", elles ne m'appartiennent donc pas*** (si vous voulez aller chercher les photos utilisées ici, allez sur mon compte we heart it que j'ai mis en lien dans ma description)
c'est par des nuits plus noires que mon coeur que j'écris mes pensées transformant mes larmes en mots que je donne vie à mes maux que l'amour triste s'échappe de mes doigts Un recueil de toutes ces nuits, des textes qui sortent de mes heures perdues, sans beaucoup de logique
L'ombre étouffe parfois le corps et le cœur, en s'immiscant telle une mélodie discrète et légère. 22 mai 2021 29 juin 2021
Aéna, c'est Aéna. Aéna, c'est peut-être toi. Aéna, c'est peut-être moi. Aéna, c'est cette fille que tu croises dans la rue et que tu n'oublies plus. Aéna, c'est ce petit garçon qui t'appelle à l'aide. Du moins, c'est ce que tu vois dans ses yeux. Aéna, c'est cette mère au bord du gouffre, de l'eau dans les yeux et...
Des cris désespérés dans le noir, des sanglots qui font échos sur les murs. Des femmes sans ombres. Et des nuits à crier, je t'aime, aux étoiles du ciel.
❝ in a world that screams a whisper goes unheard ❞ © Manahil 2017 All Rights Reserved
"Je sens le tiraillement, timide, de ma vie qui se vide dans la mer, qui me tire vers le bord, qui m'allonge sur le sable, avec les vagues qui me caressent le visage et me chuchotent mon corps brûlé." Un soir de juillet. Il fait chaud, trop chaud. Maman est belle, beaucoup trop belle pour que ce soit vrai.
et puis, parce qu'on s'aimait bordel. et parce qu'elle s'appelait avril aussi, et qu'elle voyait pas l'monde, et qu'le monde la voyait pas non plus après tout. © mourire | août à septembre 2017
les pavés de milan et les fenêtres de san clemente. jolijaune | août 2020
Depuis l'incendie, Marin est plongé dans l'obscurité. Alors il peint l'intérieure de ses paupières des couleurs de son enfance. JusteUnEcho | juillet 2020 | 718 mots | Les Artistes oubliés
t'étais parfait comme un damier et moi je te crachais mes imperfections colorées à la gueule. | janvier deux mille vingt |
⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀nyctophilia ; ( n.) ˹ the moon and the stars are nothing without you ˼ , love of the darkness or the night; finding relaxation or comfort in the darkness. © briantrbl [ 290716 ]
De la recherche dans la forme. Des mots des profondeurs, qu'ils soient retravaillés ou fraîchement couché sur la page.
Perdus dans les abysses de l'âme, cherchez à comprendre l'existence et le sens des mots • Récompensé aux Wattstawards 2021 dans la catégorie Poésie •