La salle commune est presque vide, la lumière douce, et pour une fois, il n'y a pas d'explosions ni de cries. Juste un plaid, des mains qui se cherchent et le rare sentiment de paix qu'ils partagent sans bruit. La cover n'est évidement pas de moi, crédit à son auteur.

Sous les néons d'une soirée qui ne semble jamais finir, Izuku erre entre rires et souvenirs brûlants. Une seule nuit a suffi pour que le monde bascule, un éclat de colère et de désir les rapprochant plus que jamais... avant que le silence ne s'installe. Entre absence et confession, peur et désir, leurs cœurs se cherchent dans l'ombre de la ville, suspendus entre la lumière et le vent nocturne. - Cover par @izukando sur twitter

Dans un placard minuscule décoré de guirlandes bon marché, sans public, sans façade, les deux héros en devenir se retrouvent face à quelque chose de bien plus dangereux que n'importe quel combat : leurs propres sentiments. - La cover n'est évidement pas de moi, crédit à son auteur.

Il a toujours cru que sa colère était un bouclier. Un grondement puissant pour étouffer ce qui tremblait derrière ses défenses. Pourtant, à mesure que les silences se tissent entre eux, Katsuki comprend que certaines vérités ne naissent pas dans le fracas : elles se déposent, légères, dans l'espace fragile d'un souffle partagé. Il découvre une lumière qu'il a passé des années à repousser, croyant qu'elle le brûlerait. Mais elle ne fait que l'éclairer. Et dans ce calme inattendu, fait de regards plus sincères que n'importe quel cri, il ose enfin tendre la main vers ce qu'il a toujours craint de toucher. - La cover n'est évidemment pas de moi, crédit à @kirigaaa_ sur instagram.

Il s'est réveillé dans un lit encore chaud. Puis dans un silence qui l'a brisé. Izuku n'a aucun souvenir clair de la veille. Seulement des sensations trop intimes pour être innocentes. Un bras autour de lui. Une présence qu'il n'aurait jamais dû croire réelle. Quand il n'est plus là, une seule certitude s'impose : il a trop espéré. Les mots dits sous l'alcool restent. La honte aussi. Et la peur d'avoir franchi une limite qu'il n'avait pas le droit de toucher. Il n'y a pas eu de promesse. Pas d'adieu. Juste une absence qui parle plus fort que n'importe quelle explication. Parce que pour Izuku, aimer a toujours signifié la même chose : attendre, se faire petit, et finir seul quand le matin arrive. - Cover par @TanGenZz