Elle s'appelait Belize. Elle avait quinze ans quand elle est tombée amoureuse. Pour la première fois. Pour de vrai. Une rencontre. Un coup de foudre. Un homme trop beau pour être honnête. Et une jeune fille prête à tout donner, même ce qu'elle ne savait pas encore posséder. Ce qu'elle pensait être le début d'une grande histoire d'amour s'est lentement transformé en piège affectif, en dépendance émotionnelle, en déchirure charnelle. Elle a aimé sans compter. Elle a cru aux promesses. Elle a fait l'irréparable. Et un jour, elle a tout perdu : lui, leur enfant, et même la possibilité d'en porter un autre. "Ma première fois" n'est pas une simple histoire d'amour. C'est l'histoire d'un sacrifice silencieux, d'un apprentissage brutal, et d'un cœur trop plein dans un monde trop vide. À travers les mots de Belize, c'est toute une génération qu'on entend murmurer : et si aimer trop, c'était se perdre

Normalement le titre que je m'apprêtais à vous présenter s'intitule «les réalités de l'enseignement en RDC», mais comme ce qui m'a le plus motivé à en parler était la situation des examens d'états alors je me dit qu'il valait peut-être la peine de commencer par la fin, sans oublier l'aspect universitaire bien-sûr. Alors j'ai écrit premièrement cette pensée «le diplôme au temps du Corona». Je crois qu'avec votre soutien je réaliserai toute ma pensée afin de faire savoir ce que beaucoup de gens ignorent et que certains semblent trouver normal. Pour la description de l'histoire, déjà on devrait plutôt parler de poème. C'est un genre de poème qui ai dévoué pour permettre au monde entier de voir à quel niveau se trouve l'enseignement en RDC et quelles sont les vraies réalités des examens d'états, qui depuis quelques décennies semblent être conservées alors qu'elles devraient être condamnées. Alors j'ai pris l'initiative de les partager avec vous afin de dénoncer le mal pour permettre une amélioration.