Il est là, tout près. Observant leurs moindres gestes. Surveillant le tic tac de l'horloge, se préparant silencieusement au grand show meurtrier qu'il prépare depuis des années. Le Flamboyant doit couler. Les familles fondatrices doivent disparaître. Et tout le monde le sait. Même les concernés. Face à cette menace constante, à la tension de plus en plus grande, les choses commencent à déraper. La priorité n'est plus de s'unir contre un ennemi commun, mais de sauver sa peau. Quand la menace est proche d'être exécutée, les secrets éclatent et la rage refoulée ressurgit brusquement. Il est là. Tout près. Et il attends le moment parfait pour les briser en une seule frappe.

❝On implose. Chacun à notre tour, on tombe. On a cru que la vérité allait nous souder, mais tout ce qu'elle fait c'est nous séparer. Et tout ça ne peut se terminer que d'une seule manière.❞ Les excuses faites, les explications données, le groupe peut enfin revenir à la normale. Mais derrière les sourires et les bienveillance, la tension monte. Leur apparence d'union n'est qu'un leurre. Et quand ils découvrent avec horreur les nouveaux noms inscrits sur les briques blanches, c'est l'explosion. Si le Mur devient un problème, Le Flamboyant plonge dans sa période sombre. Un étrange lien se tisse entre l'école et le complexe hôtelier. Encore une fois, c'est le passé qui ressurgit, mais un passé bien plus ancien que celui qu'ils avaient dû affronter. Et face à ça, une question fondamentale s'impose. Quelle est la véritable origine du Mur ?

L'école supérieure de Memphis possède une étrange tradition : celle d'inscrire deux noms sur un mur. La règle ? Que ces deux personnes tombent amoureuse avant la fin de l'année. Le risque en cas d'échec ? Un accident. Un destin tragique. C'est ce que les élèves de l'école appellent "la malédiction du mur". Les choses changent quand Leila Revigne, une ancienne élève et nommée du mur se suicide, laissant derrière elle une lettre écrite de sa main. Son groupe d'amis se brise, rejetant la faute sur une seule personne : Raven Hist. Mais derrière ces mots se cachent une vérité plus sombre encore, un secret que les deux prochains désignés devront percer. Après tout, un mur est un mur. Une moindre faille, et tout s'écroule.

Avant d'être le Darkling, il a aimé. Avant d'être un monstre, il a été humain. Avant d'être un tyran, il a été Aleksander Morozova. Chacun a le droit à l'amour. Même lui. Il avait 17 ans. Il avait la vie devant lui. Une vie dans laquelle est elle entrée aussi vite qu'elle en est ressortie. Une perte qui l'a détruit, et jamais il ne s'en est relevé. Aryia Erakin a changé Aleksander Morozova à tout jamais. Credits to Leigh Bardugo. One Shot.