Quelque part sur cette terre, au moment même où l'on vous parle, deux jeunes coeurs sont brisés. Trahis et délaissés par ceux qu'ils chérissaient tendrement du plus profond de leur âme, ils pensent qu'ils ne retomberont plus jamais amoureux. C'est une évidence pour eux. Mais une fausse évidence. Ces deux coeurs qui sont en réalité âmes soeurs, se retrouveront, et créeront une mélodie. Douce et courageuse, cette symphonie leur donnera le courage nécessaire afin de surpasser même le plus grand des obstacles qui se dresseront devant eux. Ensemble. Toujours ensemble. Car une chanson, c'est encore mieux lorsqu'on la partage à deux... C'est une histoire gay, alors les homphobes passez votre chemin. Cette histoire est en collab avec @Bahahadu79 Et les persos ne nous appartiennent pas, ceci est une fanfiction sur le ship ereri et non riren Publication irrégulière

TERMINÉ - AU AVENGERS Les Avengers ne sont plus des supers héros, mais des lycéens banals durant les années 80. Ils se rencontreront malgré leurs différences et formeront le 'Avengers Club'. Départ inspiré par le film 'The Breakfast Club'. Contient des couples fictifs. (Aucun lemons - Tout publique, avec un vocabulaire parfois vulgaire) Environ 107 500 mots au total. (43 chapitres d'en général 2500 mots)

Mikasa Ackerman, numéro 080518M. Découverte dans une vieille cave par les Bataillons d'Exploration lors d'une expédition extra-muros. Sa particularité? Avoir passé dix ans à se faire torturer. Son but? Se reconstruire. Comment? Livaï. « Je suis à bout de souffle, Livaï, à bout de force. - N'abandonne pas. Si tu abandonne, il gagne. » « Est-ce que tu pense que je pourrais être un oiseau, et, moi aussi, m'envoler, loin? - Franchement, te transformer en pigeon, je pense pas que ce soit cool. Mais, voler, ça peut s'arranger. » « Tu es idiote, Mikasa, si tu crois que tout viendra tout seul. La vie, c'est un putain de combat. - Peut-être que je n'ai plus de force pour le gagner, ce putain de combat. » « Arrête de te détruire, bordel, parce que j'le supporterai pas longtemps. Putain, tu sais que je t'aime, hein? Alors si ce n'est pas pour toi, tu n'as qu'à vivre pour moi. »