En 2020, une épidémie a ravagé le monde. Des hommes sont morts, des villes ont été détruites. Seuls mille nouveau-nés ont pu être sauvés. Cinq cents garçons et cinq cents filles, qui ont été élevés dans des orphelinats séparés. 900 est l'une de ces filles. Elle appartient à la génération réparatrice. Ce sont eux qui créeront le monde de demain. Un monde où les discriminations n'existent pas. Pendant dix-sept ans, elle n'a vécu qu'avec des femmes. Mais dans un mois, la réinsertion commencera. Les mille quitteront leurs orphelinats. Une nouvelle vie commencera. Cependant, avant de partir, il leur faut apprendre la vérité. Ils ne sont pas seuls. Dehors, d'autres enfants sont nés. Dehors, règne l'anarchie. 900 et les siens sont le dernier espoir de la civilisation telle qu'ils l'ont rêvée...

Lors d'une escale dans la mégalopole de Gorgona, l'équipage du Misery se retrouve entraîné dans une course-poursuite mortelle avec les agents de la Corp, après que le jeune Nyx ait décidé d'apporter son aide à une mystérieuse femme tombée du ciel... Renégats est un space-western, écrit et illustré par Bastien Martins (Le Tropeur). De l'aventure à travers l'espace, du danger, des personnages haut en couleur, de l'action, de l'humour, et bien plus encore vous attendent dans ce Web Novel inédit !

C'est le jour de l'Investiture pour Gudrun, le jour où elle va recevoir son âme-forte. Et c'est là que tout bascule : sa tribu est décimée par les Rougeâmes, forçant les rares survivants à se réfugier dans les montagnes et à quérir de l'assistance auprès des Hommes du Nord. Là, elle rencontrera Kalax, un Mécanoïde dédaigneux qui accuse les peuples surfaciens de tuer Mécanâme à petit feu. Pour ne rien arranger, la jeune fille commence à entendre des voix et à faire des cauchemars. Pourquoi cette panthère noire hante-t-elle ses rêves ? Pourquoi les monstrueux Rougeâmes, les Luminâmes et les Miroitants sont-ils de retour ? Commence un périple truffé de dangers et de chausse-trappes, une course contre la montre pour sauver l'âme de la planète, qui semble au crépuscule de son existence. Merci à @Mickael_Dutfoy pour la cover.