Nora, jeune asociale âgée de vingt ans, se retrouve en colocation avec Ash, un jeune homme qui représente tout ce qu'elle n'est pas et déteste. *** Nora Hallow, vingt ans, est devenue une asociale invétérée depuis qu'elle a quitté New York, sa ville natale. Fille du PDG de l'une des plus importantes sociétés immobilières du pays, sa vie est toute tracée : Nora est entrée à Harvard. À sa troisième rentrée, elle trouve par ses propres moyens un appartement sur le campus et réussit à décrocher un job de serveuse au Madison Avenue, un bar réputé de la ville. Tout se déroule à la perfection jusqu'à ce qu'un imprévu s'appelant Ash débarque le jour de son emménagement, et annonce que lui aussi a signé pour cet appartement. Dupés par le propriétaire, ils doivent devenir colocataires. Nora décide alors de faire de la vie d'Ash un enfer pour le pousser à partir. Or, problème, Ash s'avère aussi têtu, inventif et insupportable qu'elle. Vont-ils pouvoir cohabiter sans encombre ? • Couverture faite par Raymond Gardener •

🌧 Jayden Blake est un être bondé, Mia Evans est un être vide. Deux opposés, mais deux identiques à la foi. Deux êtres qui peuvent fusionner, comme s'écarteler, se consumer. L'un est le soleil, l'autre la pluie. L'un est le yin, l'autre le yang. Car les opposés s'attirent, tout comme ils se déchirent. Puisqu'au final deux âmes brisées valent mieux qu'une, non? « T'es ma lumière dans l'obscurité » 🌧 -------------------------- 🔪 /!\contenu pouvant être violent/!\ NE PAS LIRE LES COMMENTAIRES POUR ÉVITER D'ÊTRE SPOILÉ Malgré que ce soit la version réécrite de l'histoire, il se peut qu'il y ait encore de petites fautes d'orthographe. N'hésitez pas à donner votre avis ça me fera plaisir et m'aidera à me motiver quant à la suite de la réécriture, bonne lecture :)

- Lâches moi Ethan ! hurlais-je en riant - Alors dis le moi, répliqua t-il - Je .. - Oui ? Je m'arrêtai un instant de rire et le fixai intensément. Il était tellement beau. A cet instant précis, le monde semblait s'arrêter de tourner autour de nous. Quelques signes d'impatience se dessinait déjà sur son visage. Il n'en pouvait plus, et moi j'avais tout simplement arrêter de respirer. - Thaïs, bougonna t-il. Dis le moi, s'il te plaît. Un instant, l'envie de le faire patienter encore me tenta véritablement. Mais à quoi bon ? C'était une évidence pour lui, pour moi et pour tout le reste de la planète. Je plantai mon regard dans le sien, et murmurai enfin : - Je t'aime Ethan.