Patienter. C'est le quotidien étouffant de June. Elle n'a plus qu'un an à passer dans son prestigieux lycée privé, un an à affronter le harcèlement constant des autres élèves. Un an à survivre dans une maison où elle n'a pas sa place, et où la violence sature l'air. Une nuit, lorsqu'elle est seule chez elle, des voleurs s'introduisent. L'un d'entre eux la repère et lui ordonne de se taire, lui sauvant ainsi la vie. Alors que des mois plus tard, cet épisode semble oublié, un nouvel enseignant fait son apparition dans son lycée. Ce remplaçant n'est autre que le cambrioleur l'ayant épargnée cette nuit-là. Shayn, qui s'est exilé à Londres suite à une série de mauvais choix, se voit désormais confronté à June, témoin d'un passé qu'il avait laissé derrière lui. Pour s'assurer de son silence, il est prêt à toutes sortes d'intimidations. Mais June n'a pas l'intention de céder. Car si Shayn est déterminé à garder ses secrets, elle se bat aussi pour préserver les siens. [Début de la republication : 29/04/2022]

Tic...tac...tic...tac... Les secondes défilaient lentement pendant cette fameuse nuit, le temps était froid. Aussi froid que le corps qu'il venait d'enterrer. Aussi froid que la bibliothèque où elle venait enfin de terminer ses révisions. Le calme régnait...des deux côtés. Mais le calme aimait se faire désirer chez lui...et maintenant chez elle. À cause de lui. « Allô ? » Ils n'avaient rien en commun. Ils ne se connaissaient pas vraiment. « La cible est en train de sortir de la bibliothèque, on attend ton signal Kai. » « Allez-y. » Enfin ça...c'était avant. Avant qu'elle ne soit l'objet de sa nouvelle mission. Et de sa curiosité. (Not owned picture)

Le poids d'un secret et une seule journée pour tout faire basculer. Alors qu'elle ne cherchait qu'à fuir son chaos familiale, son destin s'emmêle à celui de Côme. Qui n'est d'autre que le fils du plus dangereux maître de la contrebande américaine. Mais rien ne garanti que sur son chemin, Mariposa réussisse à s'échapper de ses griffes. Mariposa x Côme : Petit coeur papillon. 𝙹'𝚊𝚒𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚋𝚒𝚎𝚗 𝚝𝚎𝚜 𝚢𝚎𝚞𝚡 𝚗𝚘𝚒𝚛𝚜 𝚌𝚊𝚛 𝚜𝚘𝚞𝚟𝚎𝚗𝚝, 𝚒𝚕𝚜 𝚖𝚎 𝚛𝚊𝚙𝚙𝚎𝚕𝚊𝚒𝚎𝚗𝚝 𝚚𝚞'𝚒𝚕 𝚗'𝚢 𝚊𝚟𝚊𝚒𝚝 𝚙𝚊𝚜 𝚚𝚞𝚎 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚖𝚘𝚗 𝚌œ𝚞𝚛 𝚚𝚞'𝚒𝚕 𝚗'𝚢 𝚊𝚟𝚊𝚒𝚝 𝚙𝚕𝚞𝚜 𝚍𝚎 𝚕𝚞𝚖𝚒𝚎̀𝚛𝚎.