Aristocratie Stories

Constance Seymour et Robinson Saxton de Gladstone n'ont vraiment pas grand-chose en commun. Ils ont le même âge, ils sont jeunes. Là s'arrêtent leurs similitudes. Elle est une jeune veuve dévastée par la mort de son époux ; il est un jeune aristocrate qui ne veut que profiter de ce que la vie a à lui offrir. Elle jure qu'elle n'aimera jamais plus ; il jure d'aimer toutes celles qui se laisseront aimer. Honnête et loyale, elle aime les responsabilités et ne recule devant aucune, même celles, inattendues, que lui a laissées son défunt mari ; un peu tricheur, il aurait aimé que la vie lui ait laissé son frère aîné pour qu'il n'ait pas à hériter du titre de marquis et de ce que cela implique. Vraiment, ils n'ont rien en commun et il était peu probable qu'ils se rencontrent un jour. Mais voilà, la vie est parfois pleine d'ironie.

Contexte : Cette nouvelle est un extrait de la vie d'un de mes personnages; Jacob Lewis Livingstone. Jacob est un jeune homme de 22 ans, héritier des Livingstone, une illustre famille s'étant implantée en Angleterre et ayant bâti une notoriété religieuse (mouvement sectaire depuis la construction du manoir jusqu'au décès du père de Jacob en 2016) depuis le XIXéme siècle. Ce dernier vit dans le manoir familial et vit des expériences paranormales : poltergeist, crises de vomissement, saignements de nez, maux de têtes violents etc. Hanté par ces ancêtres, Jacob tente de vivre une vie respectable et apaiser les esprits des défunts.] << La porte s'ouvre et je vois ma tante me regarder avec un air grave. "Tu peux y aller, Cubbie." Dit-elle en fermant la porte derrière elle. Son visage est borné d'inquiétude, même si elle tente tant bien que mal de garder son attitude de Lady. "Je pense que ça lui fera du bien de te voir." Je hoche la tête, le regard dirigé vers la porte, désormais incapable de pouvoir faire machine arrière et je marche, d'un pas hésitant jusqu'à la grande porte. Je sais mieux que personne que c'est un mensonge me voir ne la satisferait pas et pourtant même avec tous le poid des mots qu'elle a prononcé à mon égard, c'est avec espoir que je me retrouve ici aujourd'hui, l'espoir qu'elle puisse enfin ne serait-ce que m'adresser un simple regard. >>

La forêt recèle de dangers qui, parfois, ne sont que les ombres de nous-mêmes. Alfred Ashford, dernier héritier de la prestigieuse famille Ashford, l'apprend à ses dépends, lorsque dans sa traque il ne se heurte qu'à sa propre démence. ---- Il s'agit d'une fan fiction basée sur le jeux vidéo Resident Evil : Code Veronica. Il n'y a pas de spoils du jeu, car j'ai tâché de jouer sur l'ambiguïté. Je raconte les événements tels qu'ils ont pu se dérouler dans les années 80 à 90. Le personnage d'August Lowney est inventé, de même que celui de Nathaniel Mortimer et du prisonnier. Harman n'apparaît pas dans les jeux, mais on trouve une lettre de lui à un certain moment. Il s'agit de la première partie d'une fan fic qui sera probablement en deux ou trois parties. Enjoy !

" Cours, cours loin, très loin, fuis aussi vite que tu peux et ne te retourne sous aucun prétexte, à moins que tu ne veille mourir et devenir une goutte de plus dans cette mer de sang..........." Dans le monde dans lequel nous vivons, seuls ceux qui ont le pouvoir peuvent décider du destin des autres. Notre existence entière dépends de ce système car on ne peut vivre sans les autres mais les autres peuvent très bien vivre sans nous. L'innocence et la naïveté n'ont de sens que dans les contes pour enfants, de même pour les rêves et les espoirs. L'ironie est que la magie existe, c'est fou, non? Elle vivait comme l'ennemie de tous, une simple vermine de plus à exterminer.... La mort l'accompagner ou qu'elle aille mais elle ne mourrais pas, elle devait vivre! elle l'a promis. Et cette berceuse qu'elle lui chantait, et ces mots qu'on lui a dit, ne quittaient sa tête et son esprit, tandis qu'elle essayait désespérément de survivre......