- Aztèques : Harem, roman lauréat du Salon du Livre Paris 2017 par le jury Amazon KDP -
Une jeune esclave peut-elle faire tomber un Empire ?
Lorsqu'elle retrouve son village en feu et son chien éventré, Ameyal se jure d'exterminer les Aztèques qui les attaquent. Mais son courage et sa volonté ne peuvent rivaliser contre les guerriers.
Elle perd tout, famille, amis, son village est détruit et elle est emportée.
Rabaissée à l'état d'esclave, plongée dans un harem où les intrigues font loi, où sauver sa peau se joue derrière chaque porte, Ameyal doit faire face aux pires injustices, trahisons et humiliations.
Au-delà de ces épreuves, une question s'impose : existe-t-il un cage assez grande pour retenir la fille de l'aigle ?
Avis de lecteurs :
- "Un livre très bien écrit, prenant du début à la fin. Très bonne connaissance de l'histoire et mœurs aztèques."
- "Récit accrochant et très bonne chute finale. Lecteur tenu en haleine tout au long du récit.
- "Devins, sorciers, guérisseuse, une foule de prêtres et de dieux : l'histoire a beau être fidèle à la réalité, une subtile magie plane sur le monde aztèque pour notre plus grand bonheur."
- "Récit peu commun, beau voyage au pays des Aztèques, mais sans voiler pudiquement la cruauté du monde, (...) l'exploitation des prisonniers de guerre, la lutte impitoyable entre concubines du harem; le thème est original et bien traité, de façon réaliste."
- "Lecture très rythmée, réaliste et volontiers crue dans les combats par exemple."
- "Pas un instant d'ennui. Suspense maintenu jusqu'à la dernière ligne."
- "Histoire à la fois dure et passionnante."
- "Étude de la vilénie humaine poussée à l'extrême dans cette mini-société très fermée et très hiérarchisée."
Vivre avec une arme de destruction massive en moi ?Fait. Contrecarrer les plans d'un Dieu psychotique ? Fait. Mettre de l'ordre dans ma vie, avant de me retrouver chez les Dieux, pour leur prouver que je ne serais jamais une menace ? En cours.
Entre le traumatisme dû à mon combat contre la dévoreuse, et mon entourage qui jouait apparemment à celui qui arriverait à me rendre folle en premier, j'avais du mal à croire, que j'allais réussir à survivre aux quelques mois que je m'étais octroyée, avant de faire le grand voyage.