Tuer, tuer, tuer... Je me précipite vers un homme lui plante mon couteau dans son corps puis l'ouvre en deux et avec son intestin, l'attache à un arbre. Quelle magnifique tableau. Je sors mon carnet m'assois et dessine l'homme pendu avec ses intestins puis je pars. Je déhanbule dans les ruelles sombres avec pour seule lumière, la lune. Ce magnifique astre. Mon pull blanc est tâché de sang mais je passe devant les gens sans tremblement de folie, sans qu'ils me remarquent.All Rights Reserved