Un merveilleux pianiste. Un adorable petit frère. Un garçon altruiste. Un enfant sage. Un brin de Ciel. Ciel. Il était un parfait exemple de la beauté de ce monde. Avant ce jour. Un simple petit regard vers un enfant endormi. Un crissement de pneus. Une bête affolée. Et puis, le noir.
C'est comme ça qu'il est devenu une victime parmi tant d'autres. Une pauvre âme partit trop tôt, un regard de silence, aussi, dans ce monde erroné. Certains, las, appèleraient cela la "Loi du Cycle". On pleure, on supplie les cieux de rendre ce qui a été prit. C'est déjà trop tard, pourtant.
"Où vas-tu mon enfant ? Pourquoi ne suis-tu pas le chemin blanc ? Regarde les autres, ils sont heureux là-bas, rejoins les, tu le seras aussi ! Tu seras en paix mon enfant."
"Je ne peux pas. Je ne veux pas. J'ai des choses à faire sur Terre, encore un peu."
"Mon enfant, seuls les damnés peuvent rester sur Terre sous cette forme."
"Alors je renaîtrais."
"C'est impossible mon enfant. Allez, viens donc suivre le chemin blanc. La Terre est un monde erroné, tu n'y trouveras que chagrin. Sois heureux avec nous."
"Désolé. Je ne peux pas. Je resterais sur ce monde."
"Ah, mon enfant, si tu n'étais pas si têtu... Soit. Je t'accorde ce vœu, par miséricorde, par bonté, qu'importe. Je n'ai que faire d'une âme comme la tienne mon enfant, une âme perdue. Retourne donc sur cette Terre que tu chéris, en tant qu'esprit. Les enfers t'attendront, mon enfant..."
Katia, une jeune fille calme en apparence mais très têtue, est forcée de rentrer dans son pays natal après que son père a découvert quelque chose de troublant à son sujet.
De retour chez elle, elle ne s'attendait pas à trouver l'amour avec Bassim Sall, qui est en réalité l'oncle de ses amies d'enfance.
Katia tombe éperdument amoureuse de Bassim, mais elle a aussi peur de compromettre sa relation amicale avec ses copines. Leur relation mouvementée se complique encore plus avec les problèmes entre Katia et ses amies, qui sont également les nièces de Bassim.
•|• Œuvre de Mai 2020 - Réécrite en Décembre 2023
Ceci est une ancienne chronique réécrite