Il était debout, fixe, sans émotion apparente. Devant lui se tenait la tombe fraîchement posée de sa sœur. « Gabriella Mazzei, 1475-1495 ». C'était tout ce qui lui restait d'elle, de sa famille : une tombe, sans épitaphe. Dans l'esprit du jeune garçon, une seule chose émergeait : retrouver l'assassin de sa sœur. Il allait payer pour ce qu'il lui a fait, il se l'était jurer, il était prêt à tout.