Letter from bro'

La mort est une garce, elle vous vole tout ce qu'il y a de bon en vous. Elle se complait dans son silence et son néant. Elle vous tombe dessus, vous fait suffoqué, vous fait espérer, et fini par tout emporter derrière elle. Une belle salope devant qui se qui reste s'agenouille, réclamant clémence. Puis il y a ce cri de désespoir, le refus de la réalité. Ils se mette à revoir l'être aimé, il ressente sa présence à leurs côté, ils entendent même parfois leurs rire dans le brouhaha de ses rues qu'ils parcours toute les nuit espérant oublier. Une fois cette phase passé ils tombent dans la colère, une haine qui semble insurmontable, le monde extérieur deviens leurs pire ennemie, ils se contentent de rejeté tout aide, toute joie, toute source de bonheur.
Il y a comme une force, une énergie puissant, volcanique qui boue à l'intérieur. Ils se retournent contre leurs proches, les accuse parfois et puis cette rage se recentre et viens se déposé sur eux. Ils finissent par se détester, et a haïr chaque jour qui passe... Viens par la suite la tristesse, on renvois tout sur celui que nous avons perdue. « pourquoi est-il partie ? » « pourquoi lui ? » « Comment as-t-il pus me faire ça... ». On finit par se résigner, c'est la vie on n'y peut rien, on accepte. « Je pense toujours à toi, tu nous voulais fort, tu nous voulais heureux... Alors je vais reprendre le boulot, je vais faire de mon mieux... ». Il ne reste alors plus qu'à se reconstruire...