voilà, crayon à la min à admirer cette belle machine qu'est notre monde... La où le peuple court, je m'arrête, scrutant les détails... Et l'envie me reprend, de griffonner quelques mots à slamer
Je crois que je l'aimerais jusqu'à la fin des temps, mais qui dit que ce temps ne s'effile pas entre mes doigts pour se terminer à la fin de ce cadran ?