Fragments d'un Nirvana perdu
25 parts Ongoing MatureVoici l'histoire d'un homme qu'on appelle Kurt Cobain.
Mais oublie le nom, oublie l'icône.
Ce n'est pas une biographie, c'est une putain d'hémorragie.
Il est né trop doux pour ce monde trop dur.
Un gamin avec le cœur en bord de peau, élevé dans le silence, le rejet, les murs qui ne répondent pas.
Il découvre tôt que l'amour, ça s'achète - ou ça se crame.
Et que la seule chose qui fait encore un peu de bruit en lui, c'est une guitare désaccordée.
Puis elle arrive.
Elena.
Pas une muse.
Un incendie.
Elle sent l'alcool bas de gamme, le manque, la sueur, le sexe sale.
Elle est ce cri qu'il n'arrivait plus à sortir.
À deux, ils s'aiment comme on se dévore.
Ça pue l'héroïne, la scène, les seringues, les nuits sans fin.
Ils saignent ensemble. Jouissent ensemble. Se perdent ensemble.
Ce livre, c'est leur chute.
Leur tentative d'exister hors du bruit.
C'est le combat de deux âmes fracassées qui s'agrippent l'une à l'autre pour ne pas crever.
Y a pas de conte de fées ici.
Juste la réalité brute d'un amour toxique, de l'art comme dernier souffle, de la dépression maquillée en concert.
Fragments d'un Nirvana perdu, c'est pas une fanfiction.
C'est un cri dans un cendrier.
Ce n'est pas un livre de rockstar. C'est le journal de bord d'un homme qui voulait juste qu'on lui dise : "Tu as le droit d'exister, même si tu ne vas pas bien."
C'est cru, parfois dégueulasse, parfois lumineux.
Un récit de survie, pas de victoire.
J'ai pas écrit ce livre pour qu'on m'admire. Je l'ai écrit pour ceux qui saignent en silence. Pour leur dire qu'ils sont pas fous. Pas seuls. Juste trop vrais pour un monde trop froid.
"Ce livre parle de douleur, mais surtout de la beauté qu'il reste quand on ose la regarder en face."
Voici l'histoire d'une fane
Spencer