[One-Shot] Désillusion. - ⚜ Nobi-Lys ⚜ - Wattpad

Story cover for [One-Shot] Désillusion. by Nobi-Lys

[One-Shot] Désillusion.

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Les ruines antiques, au même titre que les bois, symbolisent alors, la folie et l'effondrement de l'ambition. Et on entendait un lointain écho, réminiscence du passé se mêlant aux vastes mers tableau philosophique, qui plait au cœur de chagrins agités. Quand de ton sein par les vents tourmentés, quand des écueils et des grèves antiques. Sortent des bruits, des voix mélancoliques. L'âme attendrie en ses rêves se perd et s'égarant de pensée en pensée, comme les flots de murmure en murmure, elle se mêle à toute la nature. Avec les vents, dans le fond des déserts, elle gémit le long des bois sauvages, sur l'Océan vole avec les orages, gronde en la foudre, et tonne dans les mers : Malheur au coin de la terre où germe la semence, où tombe la sueur de deux bras décharnés ! Maudits soient les liens du sang et de la vie ! Maudites la famille et la société ! Seigneur, je reconnais bien là, le délire, s'il ose murmurer ; Je cesse d'accuser, je cesse de maudire, mais laissez-moi pleurer ! »

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Crédits: 
Nightmare: Jokublog
Lyrisme : Poème personnel de Nobi-LysAll Rights Reserved

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Table of contents

2 parts

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Laisse-moi être ta ruine by SeleniaV

Je l'ai vu pour la première fois un jeudi soir, vers 1h du matin. Il pleuvait dehors, mais ici, comme toujours, ça sentait la sueur mélanger à des parfums, l'alcool de haut de gamme et la fatigue mal digérée. Je nettoyais le comptoir de l'étage sans vraiment regarder, juste assez pour éviter les mains qui traînent et les regards qui collent. Et puis je l'ai senti. Pas vu. Senti. Une présence. Lourde. Contrôlée. Comme une bête qui attend le bon moment pour mordre. Quand j'ai levé les yeux, il était là. Assis au fond, dans l'ombre. Il ne faisait rien. Juste fumer, observer. Pas comme les autres. Pas comme un type venu boire. Comme un type venu choisir. Il m'a regardée, sans sourire. Comme s'il savait qui j'étais. Ou pire, ce que j'essayais d'oublier. Et j'ai compris. Ce mec-là, c'était pas un client. C'était un problème. Un de ceux qu'on voit arriver trop tard. Je n'aurais pas dû le regarder une seconde fois. Mais je l'ai fait. Et c'est à ce moment-là que tout a commencé à partir en vrille.

L'histoire de Dreamtale by Rinny-Pew

CE N'EST PAS UN DREAMMARE ET C'EST BIEN UNE FANFICTION C'est l'histoire de Dreamtale, l'histoire de deux jumeaux proches qui s'aimaient plus que tout, l'histoire de deux jumeaux gardiens de l'Arbre des Sentiments. L'un deux était la positivité, l'autre la négativité. L'un était adulé par tous, l'autre détesté par tous. L'un vivait dans l'insouciance, l'autre dans la peur. L'un brillait dans la lumière, l'autre sombrait dans les ténèbres. "Les gens sont si stupides à juger les autres juste par une si petite caractéristique d'eux... Ais-je vraiment mérité de souffrir ainsi... ? Suis-je né juste pour cela ?" "Injustice, stupidité, favoritisme, inégalité... persécution... Tous ces idiots doivent payer pour cela. Tous, autant qu'ils sont." | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ | ● | ☆ Alors, cette histoire a été créée parce que je voulais voir si ma détermination était partie ou si je m'étais juste désintéressée des sujets sur lesquels j'écrivais, donc cette histoire n'est pas vraiment très travaillée, recherchée et originale, mais je la trouve tout de même réussie, et c'est pour ça qu'elle est postée ! Bonne lecture ! Dream, Nightmare, Dreamtale et son histoire originelle sont à JokuBlog La couverture n'est pas de moi non plus, j'ai juste fait un mini montage. Je ne connais pas les artistes... \\Les dix derniers chapitres sont juste des images//

Nos Sangs Mêlés by EloiseCompote

"Deux camps, une guerre. Deux espèces, le même sang. Des milliers de bataille, jamais de paix. Le même calvaire des deux côtés. Un seul espoir, une femme. Quel sera son choix ? Cela ne dépend pas que d'elle, mais leur avenir est entre ses mains. A elle de régler ces conflits qui durent depuis trop longtemps, à elle de régler les erreurs des autres. Telle est sa responsabilité. Tel est son but." - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Couverture faite moi-même, merci de respecter mon travail ^^ A la base cette histoire s'appelle "Pacifique" mais je n'aimais pas le titre alors j'en ai changé, je fais un petit coup de neuf si on veut ^_^

Ce qu'il reste by lily3aa

Je pensais avoir fui. Je pensais avoir laissé derrière moi les coups, les nuits sales, le poids de ses mains sur ma peau. Je me suis menti. Changer de lycée n'efface pas ce qu'on est. Essayer de changer de personnalité non plus. Pas quand la colère dort sous la peau. Pas quand la violence vous colle encore aux os. À Haston Red, j'ai replongé. Pourtant, tout était bien parti. Les regards qui jugent, les rues qui crachent leur froid, les bagarres qu'on déclenche juste pour exister. Et puis lui. Celui qui pourrait soit me sauver, soit m'achever. Celui qui pourrait être ma dernière chance, ou ma pire chute. Lucas. Trop de noir dans les yeux. Trop de silence dans les poings. Un danger de plus dans un monde où tout finit mal. Je savais qu'il fallait l'éviter. Comme on évite une balle. Comme on évite une promesse. Mais certaines blessures ne cherchent pas à guérir. Elles cherchent quelqu'un qui saigne pareil.

T/p : être protégé by i_watpaad

Je pensais que déménager serait une nouvelle chance. Un nouveau départ. Une façon de fuir les souvenirs, les silences de ma mère, les cicatrices qu'elle ne m'expliquait jamais. Nouvelle ville. Nouvelle école. Nouveau vide. Mais ce que je ne savais pas, c'est que je n'avais jamais été libre. C'est arrivé un soir. Une camionnette noire. Une main sur ma bouche. Des voix dans une langue que je comprenais à peine. Des regards glacés. Des silhouettes tatouées de colère. Quand j'ai rouvert les yeux, ils étaient là. Sept. Leurs visages flottaient entre l'ombre et la lumière. Trop beaux pour être réels. Trop dangereux pour être humains. « Bienvenue chez toi, » a dit l'un d'eux. Je n'ai pas compris. Pas tout de suite. Puis ils m'ont dit son nom. Le nom de mon père. Un homme que je croyais mort. Un homme que je ne connaissais pas. Un homme qui dirigeait un empire de sang, de dette et de silence. « Tu es sa fille. » Et c'est là que tout a changé. Parce que dans ce monde, les sentiments sont des faiblesses. Et moi, j'allais devoir apprendre à survivre. Parmi eux. Parmi les rois du chaos. 🍃

Without you by GraphiteTVFQ

Chaque pas était mesuré, calculé, un équilibre fragile entre silence et rapidité. Les prédateurs ne manquaient pas. Et ils n'étaient pas tous des bêtes. Son souffle formait de petits nuages blancs devant son visage, et malgré les canapés de vêtements usés qui recouvraient son corps maigre, elle sentait l'hiver s'insinuer sous sa peau, ronger ses os. Elle s'arrête un instant, tendit l'oreille. Rien. Pas un oiseau, pas un craquement. Seulement le murmure du vent dans les branches mortes. Elle connaissait cette forêt. Elle l'avait apprivoisée. Un abri fragile au milieu du chaos, mais un abri tout de même. Elle avait appris à lire ses signes, à sentir quand elle était seule... et quand elle ne l'était pas. Aujourd'hui, elle ne l'était pas. Un frisson coule le long de sa colonne vertébrale. Pas de bruit, pas d'ombre furtive entre les arbres, mais une sensation sourde, une certitude instinctive qu'elle n'était plus la seule à fouler ce sol glacé. Lentement, elle recula, effaçant ses traces derrière elle, jusqu'à atteindre l'orée du bois. À quelques centaines de mètres, dissimulée derrière un enchevêtrement de ronces et de branchages, sa cabane dans les arbres dominait une petite clairière. Son sanctuaire. Elle grimpa rapidement à l'échelle de corde et referma le piège derrière elle, s'accordant enfin un soupir. Ses muscles se relâchèrent, juste un instant. Puis elle se figea. En bas, à la lisière des bois, une silhouette se dessinait dans la brume. Immobile. Un homme. Grand, massif, un fusil en bandoulière. Même à cette distance, elle le savait. Ce n'était pas un pilier affamé. Pas un rôdeur désespéré. Il bougeait trop lentement, trop calmement. Il la traquait. Eilidh venait d'être repérée. Et elle savait que les hommes comme lui ne lâchaient pas leur proie.

« Trois mois... De son esprit tu ne sors pas » by Vhy-E-Scriben

Il est des choses qui changent, d'autres non. Peu importe le temps qui passe, l'amour peut rester présent, comme la haine peut le remplacer. Le manque lui, jamais ne change, il se grave au fil des journées qui défilent. Colonna le sait, et quand bien même il en tait la douleur, certaines personnes, sans même s'en rendre compte, remuent, fortement le couteau dans la plaie. Il est des crépuscules qui jamais ne disparaissent, des cicatrices qui s'effacent si tôt que le jour se lève, et des plaies qui restent béantes, tant que la nuit dure. De ses attaches illusoires, il tente de se débarrasser, tout comme il n'écoute qu'à peine les protestations de l'étoilé céladon, et assène de lui-même les avertissements, face à cet effet miroir qui fracasse son âme, sans que jamais il n'en dise rien. Dos à lui-même, l'étoilé sanglant manque de souffle et de courage, car de son esprit, deux êtres ne disparaissent, animent en lui le serpent vil et hypnotique d'une douleur aussi aveugle, que sourde, que muette. Des cendres de sa mémoire, tour à tour, s'élèvent, les voix tendres ou glaciales d'un enfant et de son père, paroles d'amour ou accusations dignes des Enfers. Mais sous l'étendard des ténèbres et du sang, du rubis et de l'onyx, les ailes d'une créature éthérée s'étendent face au ciel de la fin de journée, représentation parfaite des deux êtres qu'elle cache à la vue du temps... Le temps d'une dernière demi-heure. Disclaimer : Undertale appartient à TobyFox Palette Roller/Rurik appartient à angexci Goth/Lotus appartient à Nekophy De ce fait les personnages ne m'appartiennent pas. De même manière, la ou les image(s) utilisée(s) ne m'appartien(nen)t pas. Par contre, Colonna est MA propriété. J'ai créé Colonna.

Marco X Reader " Le chant des lys. " by Peach_596

Dans un champ au centre du mur Rose, un jeune homme vient écouter le vent lui murmurer des poèmes. Entre les quelques fleurs qui vireront au rouge, un chant perdure, faisant apothéose aux sourires du garçon. Alors que l'ode se perd sous la terre, les souvenirs d'une fille s'emmêlent à ceux du jeune homme. Tu es cette femme, ignorante jusqu'à ce jour que le tableau peint autour de vous deviendra vite le paysage de nombreux rendez-vous. Le destin vous mènera t-il jusqu'au champ de bataille ? Pour le savoir : chut, tendez l'oreille, et écoutez le chant des lys... Cette fanfiction ne suit pas l'histoire originelle, bien que les titans existent toujours, le mur Maria n'est jamais tombé. ( C'est un peu comme si l'histoire se passait à une autre époque des murs ). Bonne lecture ! □Le Reader est genré au féminin □

Les déchus by un_autre_que_toi

🔸Un monde en guerre civile 🔸Des villes-prisons séparées par une brume opaque 🔸Un seul moyen de voyager 🔸Deux adolescents, leurs espoirs 🔸Du rêve....au cauchemar ? "Là où pleurent les déchus nous referons le monde. Pour eux, pour nous" Bonne lecture🕯️ ⚠️Ceci n'est pas une fan fiction !⚠️

[II] Forever yours... by YOUR_QUEEN_0

J'ai rêvé la nuit dernière que je retournais en Russie. J'ai rêvé que là où autre fois se trouvait l'allée, une jungle dense et torturer avait poussé. Comme si la nature avait repris ses droits et pourtant la maison demeurait toujours là. Secrète et silencieuse telle qu'elle l'a toujours été. Comme dans tous les rêves je pouvais naviguer dans mes souvenirs, traversant les moments comme on traverse un pont. Remontant jusqu'à cette époque lorsque j'étais innocente et ignorais tout de la noirceur de ce monde. Je revois si distinctement la fille que j'étais même si je sais qu'elle ne reviendra plus et je me demande ce qu'aurait été ma vie si je ne l'avais pas connu. Sans lui. C'est drôle de penser que le cours de mon existence ne tenait qu'à un un fil et à la poisse qui me collait aux os. Sans elle je ne serais jamais allée en Russie, je ne l'aurais jamais rencontré lui...

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Laisse-moi être ta ruine

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