C'était ce que je voyais. Comme une machine, il était dépourvu de sentiments. C'était ce que j'entendais. Le bruit du vide retentissait en lui. C'était ce que je respirais. L'odeur envoûtante du rien émanait de son être. C'était ce que je faisais. Je tentais de combler le gouffre qui l'envahissait. C'était ce que je goûtais. Le malheur de son néant m'attirait. C'était ce que je ressentais. Le besoin avide de l'aider s'emparait de moi. À travers l'abîme, il y avait moi. 𐇵 ikeullim 𐇵 complète