2024, la 3ème Guerre Mondiale c'est soldé par la défaite du monde face aux États-Unis d'Amérique, gouverné par L'Empereur Dieu, Donald Trump. Une grande partie du monde est irradiée suite aux bombardements nucléaires et les seuls terres encore vivable sont l'Afrique du nord, la Sibérie, l'ouest des États-Unis et enfin le Japon, du moins, Tokyo. L'histoire se déroule à Tokyo, dans les restes d'une capital pollué et détruite.
Dans ce monde en ruine, gouverné par L'Empereur Dieu. Quelques résistants se lèvent, dont les restes de la grande mafia japonaise, les Yakuza.
Nous suivrons les aventures du gang Hinode constitué de : Haruki Ryu, le chef du gang, arrogant et sur de lui. Maya Amano, l'idéaliste rêvant d'un monde sans guerre, libéré de Donald Trump. Shinoa, dealeusse de produits en tout genre et informatrice. Et enfin Akira, orpheline, élevée dans la prostitution et le meurtre.
Ceci est le récit de 4 résistants qui sauvèrent le monde par leur folie.
𝗟'𝗘𝗙𝗙𝗘𝗧 𝗣𝗔𝗣𝗜𝗟𝗟𝗢𝗡 : « 𝑳𝒆 𝒃𝒂𝒕𝒕𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅'𝒂𝒊𝒍𝒆𝒔 𝒅'𝒖𝒏 𝒎𝒊𝒏𝒖𝒔𝒄𝒖𝒍𝒆 𝒑𝒂𝒑𝒊𝒍𝒍𝒐𝒏 𝒂𝒖𝒋𝒐𝒖𝒓𝒅'𝒉𝒖𝒊 𝒑𝒆𝒖𝒕 𝒄𝒓𝒆́𝒆𝒓 𝒖𝒏 𝒐𝒖𝒓𝒂𝒈𝒂𝒏 𝒅𝒆́𝒗𝒂𝒔𝒕𝒂𝒕𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒔𝒆𝒎𝒂𝒊𝒏𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒕𝒂𝒓𝒅. »
Nous avons tous un moment de notre vie que l'on a aimé de tout notre cœur. Un moment que l'on ne veut oublier pour rien au monde.
Ils sont cinq : Khaleesi, Zayn, Meï, Noah et Alexis.
Ils se sont rencontrés en plein mois de juin et ont passé le meilleur été de toute leur existence.
Cependant, à la fin des vacances, un terrible drame se produit, laissant ces cinq amis prendre un chemin différent et se disperser aux quatre coins du pays.
Seuls Khaleesi, qui ressasse trop le passé, et Zayn qui a ce besoin de la détester de façon inexplicable depuis le début de leur rencontre, se retrouvent dans le même lycée pour leur dernière année d'études.
Un lien brisé peut-il renaître, ou est-il déjà trop tard pour inverser les conséquences d'un simple battement d'ailes de papillon ?
« 𝑴𝒐𝒏 𝒄𝒐𝒆𝒖𝒓 𝒕'𝒂𝒑𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆𝒏𝒕, 𝑲𝒉𝒂𝒍𝒆𝒆𝒔𝒊. 𝑻𝒖 𝒂𝒔 𝒍𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒅𝒆 𝒍𝒆 𝒃𝒓𝒊𝒔𝒆𝒓 𝒂𝒖𝒕𝒂𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒇𝒐𝒊𝒔 𝒒𝒖𝒆 𝒕𝒖 𝒍𝒆 𝒅𝒆́𝒔𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒆 𝒓𝒆𝒄𝒐𝒍𝒍𝒆𝒓 𝒒𝒖𝒂𝒏𝒅 𝒄𝒆𝒍𝒂 𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒂𝒏𝒕𝒆. 𝑴𝒂𝒊𝒔 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒕𝒆 𝒅𝒆𝒎𝒂𝒏𝒅𝒆, 𝒄'𝒆𝒔𝒕 𝒅𝒆 𝒏𝒆 𝒑𝒂𝒔 𝒎'𝒂𝒃𝒂𝒏𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆𝒓... »