Il ne suffit parfois que d'un souffle. Vos yeux resignés, l'âme meurtrie contempleront alors le sombre sort d'une mosaïque s'effritant sous le coup de lancinantes bourrasques ; les couleurs fuyant le marbe et ne vous gratifiant que de l'amère et pesante détresse. Et encore! Clémence, vous qui n'étiez pourtant qu'à l'aube de la vie; sous ce ciel que vous ne saviez si incertain; souffrez de combattre, de terrasser le diable riant de votre Malheur. Bats-toi Clémence! Encore un peu. Les tientes rejailliront. Couverture créée par les soins de l'auteur. Septembre 2017