Un capitalisme surveillé ou notre mort programmée.

Une suite poétique qui propose de réfléchir sur la puissance d'un capitalisme sauvage, destructeur de l'humain mais aussi d'un environnement de plus en plus pollué, massacré où nous nous débattons avec de plus en plus de difficultés, dans un univers devenu hostile où des forces obscures désirent nous asservir au profit de l'argent, cette "valeur" qui, au pluriel, a perdu sa noble signification.

Les fourmis ont pris le pouvoir et nous sommes les troupeaux de pucerons qui nourrissons les fourmis.

N'est-il pas naïf ou manipulateur celui qui accuse de complotisme, qui désire faire croire qu'un complot en haut lieu ne se dessine pas, veut montrer qu'il n'existe pas afin de cacher ce qui existe et conspire à nous réduire en esclavage.