- Tu l'as tué, Dianna ! Crie t-il. - Non. Je n'ai tué personne. Conteste t-elle. - Si. Tu l'as fait. Et maintenant, tu en assume les conséquences. - Je n'assume que ce que j'ai commis, Andrew. - Et bien, comme tu voudras ! Tu n'as qu'a restais seule, encore. Sans personne. Tu peux être sûre que tu ne me reverra plus jamais. *** La solitude ne tue pas, enfin, c'est ce que j'ai cru. C'est ce que Dianna Andersson a cru. Cette jeune fille de bientôt 18 ans maintenant. - Que ça grandit vite ! Auraient-"ils" dit. Mais ça pourrait aussi finir vite. - Vite fait, bien fait ! Aurait-elle dit. Être solitaire, ce n'est pas être dépressif. Ce n'est pas être fou. Ce n'est pas avoir peur et, être timide. C'est être seul, abandonné. C'est ce sentiment d'abandon qui l'aurait pousser, mais pousser à quoi ?! Est-ce cet air parfois froid et blasé qu'elle dégage, qui l'a rendrait détestable ?! Non. Mais avant, avant que ça n'arrive. Remontons le temps. Juste, un petit bond en arrière. Dianna n'était pas seule, du moins, une journée avant... Ils étaient là pour elle. Mais lui accorderait-ils une dernière chance ?! Que cache t-elle ?! - Attention ! Ferme ta bouche. Qui sont-"ils" ? Que va t-il lui arrivée ?! Qui est vraiment, Dianna Andersson ?! Maintenant, allons plus loin. Et cette fois-ci faisons un "grand" saut en arrière...