1928, Pour la première fois, tu m'avais dis "je t'aime". 1933, Pour la première fois, nous avions peur de nous perdre Cyclique. La vie était cyclique. Frissons. Tu fis pression sur mon bras. Réalité. Ce contact me transmit ton inquiétude. Celle-ci s'écoula de ton être au mien, faisant palpiter nos veines avec un nouveau sang : celui de l'épouvante. Tu me communiquais ta peur de l'inconnu, ta peur d'être toi. Et peut être aussi, au fond, ta peur de me perdre. Tous droits réservés, pas d'utilisation de modifications où de copies de cette fiction en intégralité ou en partie. @Dagaana