« Je suis au regret de te dire que je m'en vais, car tu m'en as trop fait. »
« Tu es, seras et demeureras ad vitam æternam mon horizon proche ; celui-là-même qui est mien, m'est inatteignable. »
« La chaleur est accablante ; et son seul refuge demeure dans la relative fraîcheur de la nuit. »
« Regarde ce paysage autour de toi. Contemple la nature qui s'offre à toi. »
« Dulciné de mon corps et de mon âme »
« Évanescence »
« Ce soir, je ne sais pas pourquoi, mais je n'arrive pas à dormir. »
« Regarde, on voit les cratères de la Lune. Tiens, allonge-toi sur moi, je vais te raconter une histoire. »
« Adieu. Je sais, c'est bizarre de commencer une lettre ainsi, mais c'est comme ça. »
« À force de rêver, on finit par ne plus savoir si on touche le sol ou pas. »
« Venez mes frères et mes sœurs, approchez-vous donc. »
« Un jour, vous comprendrez. »
« Ce soir, c'est mon corps entier qui s'est vidé de toute sa substance. »
« L'homme était assis sur un de ces nombreux bancs qu'offrait ce parc fréquenté de centre-ville. »
« Longtemps j'aurai rêvé de ce jour où vous comprendrez. »
Voilà à peu de choses près ce à quoi pourraient se résumer ces quelques paragraphes noircis. Je ne prétends pas à un quelconque ordre, ni même à une certaine logique entre ces textes - sinon une chronologie bêtement alphabétique. Prenez-les tels quels, indépendamment les uns des autres.