Abattue, je baissais les yeux sur ses Jordans un peu usées, sur ses jambes qu'elle m'avait à maintes reprises laissée caresser, sur ses longues mains fines qui m'avait fait tressaillir de nombreuses fois, et puis, sur sa poitrine à peine recouverte par son débardeur beaucoup trop ample. Cette poitrine qui aurait dû se soulever au rythme de sa respiration, mais qui était tout aussi figée que celle d'une statue de marbre.All Rights Reserved
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