J'aurai aimé vous dires qu'il était de mon âge. Qu'il n'était guère protecteur envers moi.
J'aurai aimé vous dire qu'il ma seulement protégé de lui. Mais hélas, on n'échappe que trop peu aux rafles de l'amour, du chagrin de l'absence de quelqu'un ou encore du manque. Comme un mot grimpant sur le papier, comme une marque distincte, graver à l'encre sur la peau.
Avec le temps, tout ceci s'éclaircit mais ne fini jamais de disparaître.
Durant les premières années de son départ, mon esprit le créait constamment dans mes pas, mes esquisses, mes mots et mes silences. j'ai longtemps souhaité qu'il vive ce manque, qu'il me contact par n'importe quel moyens. J'aurai même pus croire aux oracles, à la sorcellerie ou encore aux force divine et mystique pour un simple mail, poke sur facebook, pour un message. Pour un appel.
Je mentirais si je disais qu'il est sortit définitivement de mon esprit, il si faufile de temps à autres. Il apparaît simplement par bribe, comme un rappelle. Mais je le connais il va bien. Je me force à ne pas espérer qu'il est pus pensé à moi. Je sais qu'il n'y songe plus, depuis longtemps.
Et, j'en suis heureuse. Mieux vaut le silence et l'ignorance que la rengaine semblable aux flot contre la jetée d'un être. Par sa disparition j''ai pus traversé les abysse qu'à cette instant je suis prête retrouver. Il y de ça, vingt-ans j'en aurai était là, rien que pour lui.
Au bord de la jetée.
J'ai tant vécu et tant aimé durant mon existence. J'ai pus conquérir le temps, et rencontrer un être semblable aux gardiens de mon cœur et de mon esprit. Tout comme un être qui pus ravager chaque parcelle de ma personne tout entière..
On dit que le premier amour reste dans le cœur des femmes mais c'est faux. Celui qui reste est celui qui vous blesses contre sa volonté.