Pizza : tête et poivron - HAKHYR - Wattpad

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Pizza : tête et poivron

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Mature

asphyxie brûleur cartón catacombes chantage drone effondrement embaumés missile visages

La tige s'insinue dans la serrure jusqu'au trois-quarts. Roger introduit au-dessus une seconde, plus fine. Il la soulève d'un millimètre, les yeux fermés, emperlé de transpiration. Il se demande si le bourdonnement dans ses oreilles est un acouphène.   
  La minuterie clique sur cut in black. Dans le nuancier nocturne des cages d'escaliers : « Obscurité malvenue à deux heures-vingt du matin » Roger saisit les tiges de deux doigts, tend le bras vers le bouton de la minuterie mais pourrait s'en passer : un projecteur découpe bien noire son ombre sur la porte, le chambranle et le mur.
-	Pas un geste !
  Un doigt assermenté appuie sur le bouton de la minuterie, deux mains assermentées le palpent. 
-	Pas armé, constate-t-on.
-	Euh... J'ai perdu mes clefs et...
-	Retournez-vous lentement, ordonne une voix à l'inflexible féminité.All Rights Reserved

asphyxie brûleur cartón catacombes chantage drone effondrement embaumés missile visages

Table of contents

CHAPITRES 1 ET 2
Sun, Jul 21, 2019

1 part

CHAPITRES 1 ET 2
Sun, Jul 21, 2019

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Mes cris fusent dans la pièce comme un surplus d'émotions que je ne peux plus contenir. Au moment où je croise son regard, il s'approche lentement en m'analysant progressivement. Ses bras m'entourent et je me retrouve vraiment petite comparé à lui. Sa chaleur contraste avec la fraîcheur de la pièce, alors qu'il commence à prononcer quelques paroles. -Prête des lettres à tes sentiments et laisse les s'exprimer, sinon, au lieu qu'ils ne deviennent ta force, ils seront tes poisons. Il garde un certain silence le temps pour moi d'assimiler ses propos. -Si ce ne sont pas des lettres, des cordes vocales. Si ce ne sont pas des cordes vocales, donne leur tes propres mots. Ne garde point le silence et ne porte pas toute une montagne toute seule. Il veut se retirer pour me laisser un peu de place mais je le retint en arrêtant son pull. - Ne t'en va pas.... S'il te plaît... - Donne-moi un nom. Je reste silencieuse et lui également. On reste ainsi un bon moment et je remarque qu'il n'avait pas constaté. Toute les indications, les indices, les regards. - Je t'en ai déjà donné Stalker. Tout est posé devant toi.

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Nicolas sentit des coups répétitifs sur son bras, qui le tirèrent lentement du sommeil. Il pu entendre des bruits stridents qui maltraitèrent ses oreilles et qui lui firent ouvrir grand les yeux en panique. Il était dans une chambre qui n'était pas la sienne, couché dans un lit trop dur pour son dos à moins que ses douleurs ne soient due aux êtres maléfiques qui faisaient un boucan d'enfer et qui lui sautaient dessus. Vous voyez, ces petites choses qui bavent et hurlent à longueur de journée. Vous ne voyez pas ? Ces machins qui posent dix millions de questions à la seconde et qui ont du chocolat plein la bouche et les doigts. Des enfants! Voilà. Le genre de trucs que Nicolas déteste, mais qui ont décidé de le sortir de ses rêves. Néanmoins, le pire arriva dans la foulée. "Les enfants laissez papa dormir, il s'est couché tard". Oh Putain De Bordel De Merde ! Non il rêvait. Ce n'était pas possible. Pas lui ! Pas le mec avec qui il s'était battu la veille. Celui qui lui avait cassé le poignet et qui l'obligeait à porter un plâtre. Plâtre qui n'était plus là ce matin. Oui Nicolas devait rêver! Il n'y avait pas d'autre solution possible, si?

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Un, deux... la nuit s'éveille. Trois, quatre... les ombres s'emmêlent. Un sourire dissimule les cris, Un regard défie l'oubli. Elle court après le vide, Il danse avec la mort. Cinq, six... mensonges et délices. Sept, huit... vérité en fuite. Une ville noyée de sang et de secrets, Un jeu où personne ne gagne jamais. Qui chasse l'autre ? Qui tombera en premier ? Neuf, dix... tout finit dans un précipice. - Je veux t'entendre le dire, dit-il d'une voix froide, en m'attrapant violemment le bras. La douleur est instantanée, mon corps se crispe sous le contact. Un frisson glacé parcourt ma peau, mais je refuse de céder. - Tu es un putain de malade ! m'échappe-t-il, la colère perçant dans mes mots. Je ne peux plus retenir ma révolte. Je me redresse, mais mon bras est comme coincé dans sa prise de fer. Il resserre sa prise sans un mot, ses yeux glacés fixés sur moi, ses doigts me mordant la chair. - Mauvaise réponse, kisa, murmure-t-il, sa voix un filet d'acier. Il n'y a pas de pitié dans son regard. La douleur devient insupportable, mes doigts se crispent autour de mon bras, je tente de garder mon calme, mais mes lèvres tremblent. - Ok, je suis à tes ordres, souffle-je enfin, le ton brisé, mes nerfs à vif. La peur se mêle à ma colère, je suis piégée, mais je n'ai pas d'autre choix. Un silence lourd s'installe entre nous, avant qu'il ne me lâche subitement, d'un geste violent, comme si j'étais une chose dénuée de toute importance. Je tombe en arrière, mes jambes flanchant sous moi. - C'est ce que je voulais entendre dit-il, un rictus sur les lèvres, ses yeux scintillant d'une lueur étrange. Le vide se creuse dans ma poitrine. Dans quoi je me suis embarquée ? Cette pensée me déchire l'esprit, la peur me dévore de l'intérieur. Chaque mot, chaque geste de lui me donne la chair de poule. Je n'ai jamais eu autant l'impression d'être piégée.

Larme by meli2504

- On se promène, sexygirl ? Je sursaute et mon premier réflexe est de me tourner pour mettre la claque de sa vie au crétin qui a sorti ça. Mon geste est directement arrêté par une main. Celle de monsieur « j'ai des yeux bleus et je suis bien trop beau pour être réel » qui d'ailleurs explose de rire. - Ne m'appelle jamais comme ça. Ma voix froide aurait glacé le sang de n'importe qui, mais apparemment, ça ne marche pas avec lui parce qu'il rit encore plus fort. - Arrête de rire et retourne avec ta dinde, toi ! - Mirana ? - Un truc comme ça. - T'es jalouse ? Il me fait un sourire à tomber. Et je rougis malgré moi. - D'elle, je suis offensée ! Si j'ai quelque chose à envier d'une dinde qui passe son temps à moitié à poil, c'est grave. - Donc t'es jalouse. - Mais jamais, ta gueule ! T'as cru que t'étais le Roi, toi ! - Trop mignon, sexygirl est jalouse ! - T'es irrécupérable ! * * * Bienvenue à l'Heldya, un univers parallèle inconnu où les habitants ont des pouvoirs et où d'étranges phénomènes traînent. Les terres sont divisées est dix-sept parties, mais quatre sont en guerre contre les treize autres pour récupérer la treizième Arte, centre suprême du pouvoir. Issue du monde parfaitement humain et banal, je découvre un beau jour que je fais partie de leur univers, et qu'une longue et périlleuse destinée m'y attends. Je dois sauver ce monde en conflit, supporter des garçons prétentieux, et des tonnes de choses bizarres m'arrivent. Je parle par la pensée, j'ai une habilité avec l'hiver et maintenant j'apprends que je peux contrôler, détruire et construire des choses avec l'esprit. Ok... Tout est arrivé beaucoup trop vite ! Je vous jure que je vais envoyer à la reine les frais des boîtes de doliprane qui empêchent ma tête d'exploser... - Sexygirl ?!!! Oh non, pas lui... Pitié...

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