Dans un asile psychiatrique, il n'y a que des fous, normal. Il y a toujours eu des fous et il y aura toujours des fou. Même si ils se disent normal. Même si au premier abord, il on l'air normal. Même s'ils sont presque normal. Même s'ils n'ont pas toujours été fou. Ce sera toujours des fous et je pense que personne a par moi ne le sait. Ou plutôt personne ne veut le croire. Il faut absolument que je les remette sur le droit chemin. Pas les fous, mais les autres qui on pitié d'eux. On ne peut pas se le permettre. S'ils ne coopère pas, ils rejoindront les fous. parce que la société marche ainsi. Je ne peux plus rien pour eux, les fous et les autres. Il ne faut pas les laissé prendre les autres. Sinon, je ferai tout pour qu'ils ne sortent plus jamais d'ici. Journal de bord de Catherine Blanchet-turpinAll Rights Reserved