-"Tu as tué quelqu'un !", crie-je.
-"Tu en as tué plus pour moi ma fille. N'en veux pas à ton pauvre père d'être fou."
Il porte sa main à ma joue et la caresse, me laissant du sang sur la joue. Je pleure en serrant sa main.
-"Et tu es tout aussi folle de tenir à moi malgré tout cela."
Je rigole, moqueuse de moi même. Il me sourit et dans un dernier souffle me dit: "Cherches la cause de tout tes problèmes.". Et comme pour me prouver quelque chose à moi même, je soupire seul au dessous de son cadavre, le visage baigné de larmes "Tu n'es pas mon père..."