Il est 2h30 du matin. Mon sommeil est rompu, et l'envie de me rendormir n'est plus présente. Je fixe le plafond de ma chambre. Je sens que les larmes coulent sur mes joues et pourtant je peux entendre une voix lointaine me crier d'arrêter de pleurer et de tout avouer. Cette nuit là, c'est ma routine. Et pourtant le mutisme restera ma dernière solution.