Assise sur un frêle trône de Romarin, la Reine qui en vain attends le matin ferme doucement les yeux, un funèbre cyprès ombrageant son visage, et un tendre pétale de rose glissant sur son éternel sein blanc... Assoupie dans le Jardin de pitié aux floraisons mortifères, et perdue dans le songe d'une nuit sans fin, elle attends, affaiblie, l'heureux départ promis par son Eugénie. --------------------------------- /!\ Lecture FORTEMENT DÉCONSEILLÉE en cas de SPLEEN, de MÉLANCOLIE, ou de DÉPRESSION /!\ (Ce n'est pas une plaisanterie).All Rights Reserved