En 1862, dans le cadre d'une affaire criminelle à Charleroi, le poète et bibliothécaire d'origine montoise Adolphe Mathieu intervient auprès du Roi pour obtenir la grâce des inculpés, menacés de la guillotine. Pour donner plus de poids à son intervention, il compose un texte qu'il attribue à Victor Hugo. Celui l'apprenant, approuvera cette démarche et soutiendra le combat du montois contre la peine de mort. Sept condamnés échappèrent ainsi à la peine capitale. La relation entre les deux demeura épistolaire. Le texte qui suit imagine pourtant une rencontre, qui laissera la parole à la poésie et au peuple...et le mot final au Progrès... (pièce lauréate (1er prix) du concours d"écriture théâtrale de l'ACTH 2018)