l'amour à un son
  • Reads 4,756
  • Votes 289
  • Parts 9
  • Reads 4,756
  • Votes 289
  • Parts 9
Complete, First published Dec 12, 2019
Dans une école ou la musique est le point commun de tous Izuku midoriya jeune homme de 15 ans voulant à tout pris gagner le concours de musique pour venger les espoir perdu de sa mère morte d'une maladie grave... Ses espoirs étaient maigre mais peut importe... Accompagné de son amant Katsuki bakugo (pour l'instant) dans ses innombrables aventure de musicien... Mais un beau jours dans la classe il fini par s'intéresser à un élève assez particulier

Les personnage ne m'appartiennent pas et désoler pour l'orthographe
Ainsi que les musiques et images en média
All Rights Reserved
Sign up to add l'amour à un son to your library and receive updates
or
#479piano
Content Guidelines
You may also like
Taïka - Les Brèches du Destin by LewkoNicolas
105 parts Complete
« Elles m'ont dit que j'avais de la chance. Que j'étais différente. Que je pouvais changer le cours de l'histoire. Que je portais l'espoir en moi. Je suis censée les croire sur parole, accepter mon destin. Mon avis ne compte pas. Je ne devrais même pas être dotée d'un avis. À leurs yeux, la Cause, la vraie, la grande, l'unique, prend le pas sur l'Humain. Je devrais m'accommoder de cette vie factice, conçue pour servir un intérêt supérieur qu'elles manipulent à leur guise. Je ne suis pas sûre d'être prête à l'accepter. Quand je doute, je prends le temps de les regarder. Tous autant qu'ils sont. Ils agitent leurs bras, chacun dans leur coin, se rejettent sans cesse la faute et prétendent détenir une vérité qu'ils ne peuvent expliquer. Ils agissent au nom d'une justice aux définitions multiples. Ils brisent toute esquisse d'unité, sous l'effet de leur prétendue nature pour les uns, ou d'une volonté divine pour les autres. Et finissent par s'entre-tuer, aveuglés par leurs croyances biaisées ; éternelle justification de l'injustifiable. Ils me fascinent. Tous autant qu'ils sont. Incapables de comprendre qu'à leur échelle, le blanc et le noir n'existent pas. L'humain n'est que nuances de gris, où chacun prétend tendre vers sa conception fallacieuse de la lumière et accuse l'autre de sombrer dans une obscurité immuable. Ils me fascinent. Tous autant qu'ils sont. Et pendant qu'ils baignent dans leur ignorance, la véritable ombre peut se répandre en toute quiétude. Taïka. » Luna Backlash, extrait d'« Avant la Chute », texte retrouvé dans les archives de la Tour d'Ynula. ~ Lauréat des Wattys 2019 - Catégorie Fantasy ~
You may also like
Slide 1 of 10
Dix-huit printemps cover
Zibaë, les mystères de l'autre monde T1. Les fantômes du passé cover
Juste quelques mots cover
𝘴𝘩𝘰𝘳𝘦 𝘣𝘳𝘦𝘢𝘬 - T4 cover
Animalerie Des Animaux Fantastiques cover
Taïka - Les Brèches du Destin cover
𝐌𝐄𝐒 𝐏𝐎𝐄𝐌𝐄𝐒 cover
L'étreinte des mots cover
Nouveau départ cover
De l'amitié à l'amour ?          \BYILHAN/ cover

Dix-huit printemps

21 parts Complete

Entre Jérémy et Leila il y a tout un monde. Ils se sont détestés à six ans au premier regard, puis on apprit à s'apprécier grâce à un dîner pour leur quinze ans, se sont rapprocher autour d'une séance ciné vers leur seize ans et enfin, ont finit par s'aimer le temps d'un été, celui de leur dix-sept ans. Mais l'été ça passe vite, trop vite, surtout à leur âge car depuis la rentrée, Jérémy et Leila ne se sont ni recroisés dans les couloirs du lycée, ni même parlés depuis leurs fenêtres interposés alors qu'ils habitent à côté. Comme c'est étrange. A croire que la vie cherche désespérément à les séparer. Parce que la vie quand on atteint les dix-huit ans, elle va à une allure insoupçonnée. Alors pour éviter cela, ils ont un plan ! Partir tous les deux pour les vacances de printemps.