On a tous dû, au cours de notre scolarité, produire un certain nombre de textes souvent fictifs, et de récits qui l'étaient un peu moins. En Français surtout, parfois en Histoire, voire même en Anglais. Alors j'ai décidé de partager avec vous ce que j'ai retrouvé en fouillant un peu dans mes vieux dossiers !
(Chaque projet est indépendant des autres et est présenté tel qu'écrit et rédigé à l'époque, bien que les fautes d'orthographes ont été corrigées au mieux et selon les remarques de mes professeur.e.s d'alors. Mon niveau a progressé depuis les plus anciens, qui remontent au CM2 ou la 6e, donc ne soyez pas étonné s'il y a des incohérences ou un défaut de vocabulaire. Certains ne sont même pas achevés, c'est dire !)
(Ah oui, et la couverture est une partie de l'un de ces travaux (le tout premier de la liste, à vrai dire). Donc oui, je l'ai fait de mes petites mains de 6e, merci de ne pas piquer toutes ces heures de travail à colorer une fichue feuille blanche de format A3 entièrement en gris. TOUT ce qui est écrit ou dessiné et publié ici est dans la même veine, sauf dans les cas où il s'agit de suites d'histoires déjà existantes - elles appartiennent, elles, à leurs propriétaires respectifs.)
Il s'agit d'une histoire d'amour, un conte de fée, dans lequel le prince charmant n'est pas riche blond aux yeux bleus sur un cheval blanc. Cette fois le prince charmant est pauvre, un garçon comme tant d'autres d'un quelconque quartier pauvre de Yeumbeul , et il essaye de survivre en roulant son thiak thiak ( taxi moto ), non pas par plaisir, il n'a pas de choix. La sienne n'est pas un moto de luxe , mais plutôt, une lutte, un combat pour la survie. Pas d'autre choix, le fils doit enfourcher un taxi-moto et rouler. Entre aller à l'université et ne pas manger, le choix est très simple et clair :Moto- taxi .Dans ce cadre sombre triste et douloureux, le petit prince noir aux yeux noirs (pas sur un cheval blanc) n'est pas à imaginer que cette activité momentanée va occasionner une rencontre heureuse qui va illuminer sa journée, transformant son activité de «Moto-Taxi» en «Taxi-love». Finalement tout n'est pas perdu. Il y a toujours de l'espoir.