Story cover for I think, I live, I breath by plumenivresse
I think, I live, I breath
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Ongoing, First published Feb 26, 2020
Mon seul rêve est de pouvoir rêver comme si mon imagination était la seule destination. Le chemin de mes rêve est guidé par une seule chose, ma pensée. Elle m'a toujours soutenu et me permet d'être moi-même que ce soit dans ma tête ou tout simplement sur les feuilles de papier de mon carnet à dessin que je garde toujours près de moi au cas où un objet pour une personne me donnerait envie de le dessinait. Je considère que la vie est tel qu'elle est et si elle doit l'être ainsi, elle le sera. 

Je m'appelle Eloïse Flitenhold, j'ai 17 ans et je rentre dans une des plus grandes écoles françaises de l'histoire de l'art. Mon activité favorite est de penser. 

Comme tu peux le constater dans cette histoire tu suivras mes pensées, je t'autoriserai même à les lire et je t'avoue que ça me fait vraiment peur, je me pose beaucoup de question sur le monde et de plus en plus d'évènement vont m'en faire poser encore plus. Je ne sais pas ce qui m'arrive mais tout ce que je sais c'est que je reste la tête dans les nuages.

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Ultime tome de l'ADN L'amour est une chose difficile à résumer, tout comme la notion de bien et de mal. Comment différencier une bonne et une mauvaise décision, une bonne et une mauvaise personne ? Le monde dans lequel nous vivons n'est pas binaire, noir ou blanc, il n'y a pas de méchants ni gentils. Pourtant on ne peut pas s'empêcher de classer les autres en quelques étiquettes. Il est plus simple de se ranger dans une case à l'abri de tout écart plutôt que vivre ses passions en risquant d'être pointé du doigt pour sa différence. Mais il n'y a pas de différence, seulement le courage d'être soi-même nous différencie des autres. Il n'y a aucun prône au crime passionnel dans cette histoire. Cette fiction tente simplement de teinter de milles couleurs les opinions que nous avons les uns des autres, sur leur vécu, leur passé, l'avis que nous avons sur leur attitude et leurs actions. Elle essaye de prouver que les gens ne sont pas seulement des masques, les façades qu'ils acceptent bien de montrer aux autres. Si on regarde bien, on pourrait les voir nus, sans aucun artifice et se rendre compte que peut-être plus de dix mots seraient nécessaire à les définir.