Appelle moi Pandore

Le quotidien d'Avrile pourrait se résumer à un seule mot, banal. Enfin, dans la limite où avoir un père politicien et une mère reléguer dans l'ombre de son mari, n'était pas une source d'ennuis permanents. Alors oui, sa banalité est différente de ceux qui ne connaissent pas la corruption. Dans un monde où tous veulent devancer les autres, elle se retrouve être la cible parfaite. Jusqu'au jour où elle va payer les erreurs de ses parents, de sa vie.

Mais le destin, d'humeur sympathique, n'en avait pas fini avec elle. Victime d'une expérience de mort imminente, elle tombe dans les ténèbres que représentent la dépression.

Lorsque l'on lutte pour notre survit, il est peut être temps d'accepter les mains que l'on nous tend et de remonter la pente.