KOULD n'avait rien su faire de grand hélas dans sa vie qui tardait lui convaincre en valoir la peine.Il avait atteint beaucoup trop tôt,ce qu'il nommait l'«heure d'abattement» oú l'on perd completement l'illusion de la vie.KOULD avait tout de même fini,a travers les chemins qu'il prenait pour fuir les Hommes,par se heurter inopinément a...une femme. Il la chargea dessus ses épaules pour la mener a un endroit que tout le monde nommait ironiquement «MBEG MI LA JOYAUTÉ» afin,dit-il «qu'on lui panse cette blessure que j'ai moi-même provoquée et qu'enfin je m'éloigne encore...» Mais,par le troisième livre,ce n'était pas si évident... Il se frottait a une chaleur humaine si sécure que ne l'ont jamais été les mains même de sa propre mère,écoutait les plaintes de cette inconnue,premiers mots qui lui ont paru sensés,et disait aussi les tout premiers mots qu'il a pensés avant de les dire. La charge d'une femme blessée a guérir sur le dos,il semblait animé d'une énergie nouvelle et cette fois-ci...positive.Mais l'ennui avec n'importe quoi que l'on porte sur soi,c'est qu'on puisse s'en défaire a tout moment.All Rights Reserved
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