À toi, qui a consumé mon être ainsi que mon cœur. À toi, qui me fait perdre l'esprit et la raison. À toi, qui a réussi à estomper les douleurs de mon passé. À toi, qui m'enveloppe peu à peu dans les méandres du désarroi et de l'insouciance. À toi, Uenoyama, je te dédis toutes ces chansons, reflets de mon âme, brûlant pas à pas ma tristesse et ma solitude. - Mafuyu Sato -Все права защищены