Le vent frais d'avril soufflait fort sur les immeubles de la rue de Gottlieb ce soir-là. Emmitouflée dans une couverture bien chaude, une tasse de thé vert brûlant dans ses mains, Marinette Dupain-Cheng était adossée à la rambarde de son balcon. Le regard perdu dans le ciel gris de Paris, elle repensait à la journée qu'elle venait de passer. Soudain une voix la tira de sa rêverie. - Tu as l'air perdue.Seluruh Hak Cipta Dilindungi Undang-Undang