Ici,
Vous trouverez des bribes de réflexions égarés, tout droit sorti de mon esprit tordu.
Bien que je sois contrainte de vivre avec celui-ci au quotidien, déposer ici, sur ces pages électroniques vierges, quelques unes de mes pensées pas toujours bien roses, m'est bien utile je dois l'avouer.
Car vivre avec moi-même est le plus lourd fardeau que l'humanité n'ai jamais porté.
Au même titre que mon esprit, cette espèce de recueil n'est absolument pas ordonné : vous pouvez y trouver des poèmes, des sortes de paroles ou simplement des choses que j'avais besoin d'extérioriser.
Parce que, je pense que vous l'aviez compris, ce recueil est extrêmement égocentrique.
De ce fait, si tu n'as pas envie de me connaître ou de savoir qui je suis, passe ton chemin, ce bouquin n'est pas pour toi.
Il n'est pas réellement intéressant en soi d'ailleurs, il m'aide juste psychologiquement.
Sur ce, si tu souhaites tout de même le lire, je te souhaite une bonne lecture.
Pour plus d'informations ou si tu as des questions, tu peux me contactez sur Twitter ou Instagram (liens dans ma bio) :3
Être unique. Être comme tout le monde. Essayer, se planter. Aimer, souffrir. Boire et danser. Des premières fois, des énièmes fois, des dernières fois. Fumer des cigarettes sur les toits, murmurer des poèmes aux étoiles. S'infiltrer dans des fêtes privées. Se débattre avec une famille toxique. Crier dans le silence de la nuit. Tout ressentir comme une brûlure, prendre la mesure du temps qui passe, se sentir éternelle et si fragile à la fois.
Devenir soi.
Les textes de Douces violences sont des cris, écrits durant mon adolescence. Ils sont colériques, incandescents, ils traitent de la violence qu'on subit et qu'on (s')inflige. Ils regorgent de lourdeurs, de répétitions et d'adjectifs. Mais aussi de naïveté et d'espoir. Ils sont sincères. Sombres. Rêveurs. Ils m'ont accompagnée sur le chemin de l'écriture.
Les publier ici est, somme toute, le minimum que je leur dois.