la deuxième histoire de american horror story est centrée sur l'asil psychiatrique de briarcliff, dirigé d'une main de fer en 1964 par soeur jud - judy Martin au yeux de l'état civil, - une nonne autoritaire et sadique qui prend sa mission très à coeur cherchant la rédemption pour une faut passée. elle est aidée dans cette tâche par la jeune et naïve soeur mary - enuice mckee et le vicieux docteur arthur arden, un médecin au passé obscur qui s'adonne à des expérimentations perverses. l'établissement est sous les ordres d'un prêtre charismatique arriviste et peu scrupuleux, monseigneur Timothy Howard . la région est émoi : la police pense avoir enfin arrêté le terrible meurtrier psychopathe bloody face le malheureux kit walker dont l'épouse alma a disparu dans des circonstances très étranges, est suspecté et enfermé à briarcliff. le fait qu'il soit persuadé d'avoir été enlevé par des extra - terrestres la nuit du meurtre ne plaid pas en faveur. le docteur Oliver thredson, un psychiatre aux méthodes plus modernes que celle de soeur jude, est chargé de son expertise psychiatrique. de évaluation dépent le sort de kit : la chaise électrique l'internement à vie. l'arrivée médiatique du présumé tueur en série à briarcliff y attire lana winters, une jeune journaliste n'ayant pas froid aux yeux obstinée à faire connaître du monde entier sa curiosité est rapidement punie, et elle se retrouve elle - même internée. c'est grace Bertrand, enfermé pour avoir tué sa propre famille, qui sert de guide aux deux nouveaux arrivants. alors que kit, lana et grace vont tenter de s'échapper, un démon va se glisser à l'intérieur de briarcliff , et il n'est qu' une des choses terrifiant qui menacent les patients.
Je vous avertis déjà ; si vous affectionnez les papillons, les champs fleuris, les fins heureuses, les princesses roses et j'en passe, cette histoire ne vous conviendra pas. Elle vous transportera dans un univers sombre, macabre, déchirant, atroce. Vous ne dormirez plus sereinement, vous vous regarderez dans un miroir et tremblerez, vous serez hantés par cette histoire, peut-être jusqu'à la fin de vos jours. Pourtant, je ne fais que vous conter une histoire vraie. Mon histoire.