{Ceci est une histoire sur un KookV/Taekook}
Je suis un étudiant normal, de toute manière la définition du mot normal n'allais jamais vraiment à tout le monde, je m'autoproclamais "normal" alors que j'étais le premier à avoir confondu la mayonnaise et le lait pour mes céréales, ne vous méprenez pas, ce n'était pas intentionnel, mais ce n'était pas mauvais pour autant. Comme je le disais, le mot "normal' ne va en vérité à personne.
Mais à lui, il lui glissait dessus, mais c'est pas pour autant, qu'il n'était pas exceptionnel à mes yeux.
Donc, bienvenue sur ma fanfiction, auquel j'ai construit un scénarios, uns histoire, un véritable puzzle mais j'ai aimé fabriquer ce bébé, qui, j'espère, durera !
Les personnages de cette fanfiction ne m'appartiennent pas, seul mes oc. Certaines personnes comme les personnages principaux existent vraiment, dont les membres de BTS, mon but n'étant pas d'offenser BigHit Entertainement ou BTS dans les deux cas. L'histoire n'est pas réel et ne fais pas allusion à ma vie personnelle, certain passage le pourrait. Toute copie de mon histoire, ou de ressemblance ne sera toléré, je mets déjà suffisamment de temps à trouver des idées qui me plaisent et qui puissent plausiblement durer, je vous demande donc de ne pas copier mon travail.
Le reste sera expliqué en détail, en attendant, bonne lecture à vous !
Il y aura énormément de chapitres, mais rassurez vous : ils sont courts ! Alors laissez vous tenter...
Résumé :
Au St. Bonaventure, Maëlle Duret et Neil Melendez sont deux forces opposées, mais étrangement complémentaires. Elle, anesthésiste brillante au sarcasme acéré, refuse de montrer la moindre faille. Lui, chirurgien perfectionniste, garde toujours le contrôle.
Tout aurait pu rester purement professionnel entre eux... mais certaines vérités ne peuvent pas être tues, certains regards en disent trop, et certaines tensions deviennent impossibles à ignorer.
Dans un monde où la précision sauve des vies, ils vont apprendre que la maîtrise absolue ne s'applique pas aux émotions. Parce qu'à force de vouloir tout contrôler, on finit par suffoquer.
Et quand on manque d'air, il ne reste plus qu'une solution : céder... ou se battre.