Voici la recette de "Still some hope" :
I ° Mixez la rénovation du centre d'accueil des jeunes de son quartier, son échec de vie sociale, sans parler de sa vie sentimentale, inexistante. D'ailleurs, c'est la raison pour laquelle son frère, Boris, veut la caser avec toute la terre.
II ° Incorporez un voisin sexiant (mélange entre sexy et chiant.), qui refuse que des gamins sans avenir (selon ses dires) rôdent près de son garage.
III ° Ajoutez le fait que l'un gang du quartier ne veut pas ni du centre ni d'elle sur le territoire, car selon leurs dires cela réduira leur manœuvre.
IV ° Mélangez le tout avec une dose d'humour et frissons à une cadence assez soutenue. Vous obtiendrez l'histoire de Léonie, une jeune fille de 24 ans, une tatie sociale indépendante.
Couverture
Crédit photo : Facebook comité de tourisme de la Guyane
J'étais le prince héritier du trône d'Oman.
Accusé à tort, on a fait de moi le traître de la couronne. Je suis resté enfermé sept années dans l'ombre de la plus noire des prisons d'Oman, et le temps aura suffi à développer ma haine envers mon propre pays.
Alors c'est dans la vengeance que mon cœur meurtri s'est formé. Et c'est comme ça que vous apprendrez à me connaître. Car je finirai par reprendre mon trône.
Mais que faire, quand des immenses yeux ambre de cette femme mon âme s'abreuve?
Car mon désir de tuer les miens pour récupérer mon trône est plus ardent. Alors qui brûlera en premier?
Noor ? Ou Nafir ?
𝓒𝔢 𝔱𝔯𝔬̂𝔫𝔢 𝔢𝔰𝔱 𝔪𝔦𝔢𝔫.