PROLOGUE J'étais à présent couverte de sang, mais cela ne me fis ni chaud ni froid. Ce sang si sale coulait le long de ma main, de mon poignard. Le cadavre sans vie ,devant moi allongé les yeux livide et injectés de sang. Quelques minutes plus tôt il se tenait là debout face à moi à hurler de terreur. Je l'avait regardée mourir d'un air impassible après l'avoir longuement poignardée. Mais le travail était fait, le massacre avait eu lieu.