"A toi, mon frère, tous les mots du monde ne sauraient exprimer mon ressenti, mes émotions. Je t'ai aimé et je t'aime à présent, même si je sais que tu liras la lettre alors que ma maladie m'aura rattrapé [...]" Les larmes coulent, elles deviennent intarissables. Il est mort, par cette journée du 21 juin. Le jour de l'été. Il est mort de sa maladie, alors qu'il luttait. En vain. Il est mort et sa lettre m'est adressée. Il est mort, mon frère jumeau. Mort...